Pour qui va voter Nassimah Dindar,? François Hollande ou Nicolas Sarkozy ? La lettre adressée lundi aux concurrents du second tour de l'élection présidentielle, amène un constat. La présidente du Conseil général a posé le cadre qui va définir son choix. Ce choix, Nassimah Dindar l'a déjà fait. Ce choix n'a rien de surprenant. Ce choix correspond d'une part, à ses valeurs politiques, et d'autre part aux lignes politiques qui sont en train de se dessiner dans l'optique de la recomposition de la majorité au Conseil général et du microcosme politique local.
Analysons d'abord ce courrier adressé à François Hollande et à Nicolas Sarkozy. Dans sa globalité, les "réponses" (carburant, téléphonie, emploi, logement…) se trouvent en plus grand nombre dans le projet du président candidat (UMP) que dans les trente engagements du candidat socialiste. D'autant que le programme ultramarin du socialiste se rapproche plus des propositions communistes (autonomie énergétique, auto-suffisance alimentaire, tram-train, maison de l'histoire ou MCUR…) pour cette élection présidentielle.
Toutefois, ce ne sont pas ces éléments cités entre parenthèses ci-dessus, qui vont déterminer le choix de Nassimah Dindar. Maligne, subtile et souvent féline, la présidente du Conseil général marque une fois de plus son territoire : le social. C'est la troisième partie de la lettre (chèque santé et l'Aidant familial). C'est ce volet qui va justifier la décision de la patronne du palais de La Source.
Le social, c'est l'arme fatale de Nassimah Dindar. Ce dossier, elle le maîtrise. Tout comme le public concerné : les aides ménagères à domicile, les aidants familiaux, les personnes âgées, la famille, les enfants… La présidente du Conseil général veut avant tout des garanties sur le social qui est devenu le socle de son engagement politique.
Pour savoir pour qui Nassimah Dindar va voter, il ne faut surtout pas se demander qui apportera des réponses à ses questions, mais qui a le plus besoin d'elle ? C'est comme ça qu'elle perdure depuis 2008. Grâce aussi à Gilbert Annette et Paul Vergès. Et Nicolas Sarkozy.
Parce qu'ils le veulent bien...
Analysons d'abord ce courrier adressé à François Hollande et à Nicolas Sarkozy. Dans sa globalité, les "réponses" (carburant, téléphonie, emploi, logement…) se trouvent en plus grand nombre dans le projet du président candidat (UMP) que dans les trente engagements du candidat socialiste. D'autant que le programme ultramarin du socialiste se rapproche plus des propositions communistes (autonomie énergétique, auto-suffisance alimentaire, tram-train, maison de l'histoire ou MCUR…) pour cette élection présidentielle.
Toutefois, ce ne sont pas ces éléments cités entre parenthèses ci-dessus, qui vont déterminer le choix de Nassimah Dindar. Maligne, subtile et souvent féline, la présidente du Conseil général marque une fois de plus son territoire : le social. C'est la troisième partie de la lettre (chèque santé et l'Aidant familial). C'est ce volet qui va justifier la décision de la patronne du palais de La Source.
Le social, c'est l'arme fatale de Nassimah Dindar. Ce dossier, elle le maîtrise. Tout comme le public concerné : les aides ménagères à domicile, les aidants familiaux, les personnes âgées, la famille, les enfants… La présidente du Conseil général veut avant tout des garanties sur le social qui est devenu le socle de son engagement politique.
Pour savoir pour qui Nassimah Dindar va voter, il ne faut surtout pas se demander qui apportera des réponses à ses questions, mais qui a le plus besoin d'elle ? C'est comme ça qu'elle perdure depuis 2008. Grâce aussi à Gilbert Annette et Paul Vergès. Et Nicolas Sarkozy.
Parce qu'ils le veulent bien...
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