C'est avec humilité et modestie que la présidente du Conseil général a défendu les orientations prioritaires. Tout en reconnaissant les limites des moyens de la collectivité locale, Nassimah Dindar a expliqué comment sa majorité veut peser sur le développement social, économique et durable de La Réunion.
"On ne dit pas que c'est parfait mais nous n'avons pas été élus pour faire des poèmes", allusion à l'intervention de Cyrille Hamilcaro qui a parlé de thèse, anti-thèse et synthèse. "Certains dispositifs existent déjà. Nous voulons mieux les coordonner et ainsi apporter un mieux être à tous les membres d'une famille réunionnaise".
"Nous nous croyons que nous avons été élus non pas pour satisfaire mais pour faire. Oui, il manque des médecins, mais nous ne pouvons porter tous les manques de formations. Les crèches elles, sont de la compétence de la CAF et des mairies". Nassimah Dindar a ensuite placé La Réunion dans le contexte national.
"Nous devons aussi défendre le statut de notre département français. On croit que nous sommes des assistés, nous ne sommes pas des assistés. Nous avons encore besoin de la solidarité nationale, car ce n'est plus le temps des vaches grasses. Restons vigilant pour qu'on ne nous enlève rien…"
La présidente a mis ensuite au vote les orientations prioritaires et budgétaires du Conseil général. Seule la majorité régionale a voté pour, l'opposition, elle, s'est abstenue.
"On ne dit pas que c'est parfait mais nous n'avons pas été élus pour faire des poèmes", allusion à l'intervention de Cyrille Hamilcaro qui a parlé de thèse, anti-thèse et synthèse. "Certains dispositifs existent déjà. Nous voulons mieux les coordonner et ainsi apporter un mieux être à tous les membres d'une famille réunionnaise".
"Nous nous croyons que nous avons été élus non pas pour satisfaire mais pour faire. Oui, il manque des médecins, mais nous ne pouvons porter tous les manques de formations. Les crèches elles, sont de la compétence de la CAF et des mairies". Nassimah Dindar a ensuite placé La Réunion dans le contexte national.
"Nous devons aussi défendre le statut de notre département français. On croit que nous sommes des assistés, nous ne sommes pas des assistés. Nous avons encore besoin de la solidarité nationale, car ce n'est plus le temps des vaches grasses. Restons vigilant pour qu'on ne nous enlève rien…"
La présidente a mis ensuite au vote les orientations prioritaires et budgétaires du Conseil général. Seule la majorité régionale a voté pour, l'opposition, elle, s'est abstenue.
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