
Fier de mon bilan de Maire et de parlementaire, j'ai toujours pensé que seuls les projets avaient leurs place dans une élection locale et non les considérations politiques. En effet, on n'y parle pas d'avenir de la France, de choix de société, on y parle de vie quotidienne, d'avenir des enfants, des jeunes, de la famille, de l'emploi, de créations d'activité et d'équipement.
Quand je vois la pauvreté se développer, l'état des finances de notre commune, de son inertie , de son tissu associatif, de sa régression et du peu de considération dont elle souffre dans la Réunion d'aujourd'hui, je me dis que l'urgence ce n'est pas le partage des mandats et des postes, c'est d'expliquer à nos concitoyens ce qu'il faudra faire pour redresser la commune.
Je suis stupéfait à ce propos de constater que certains des responsables de cette situation catastrophique se présentent en candidats promettant d'y remédier.
Je ne participerai donc pas aux concertations de la commission "l'Union pour les municipales au Tampon", chargée de coordonner toutes les candidatures. Ce n'est pas aux partis politiques de faire la liste. C'est aux Tamponnais de faire leur choix. Les résultats du premier tour seront pour tous un premier verdict.
Seuls les Tamponnais et les Tamponnaises diront ce qu'ils veulent en termes d'alliances et de projets à l'issue du 1er tour.
Il est aujourd'hui un peu tôt pour en parler.
Pour ma part je respecterai prioritairement le choix du premier tour d'abord. Tout en m'assurant d'abord, de la seule prise en compte de l'intérêt de la population. Sachant que les considérations économiques et sociales doivent prévaloir dans la situation très grave, voire catastrophique, dont souffre la majorité d'entre nous".
Quand je vois la pauvreté se développer, l'état des finances de notre commune, de son inertie , de son tissu associatif, de sa régression et du peu de considération dont elle souffre dans la Réunion d'aujourd'hui, je me dis que l'urgence ce n'est pas le partage des mandats et des postes, c'est d'expliquer à nos concitoyens ce qu'il faudra faire pour redresser la commune.
Je suis stupéfait à ce propos de constater que certains des responsables de cette situation catastrophique se présentent en candidats promettant d'y remédier.
Je ne participerai donc pas aux concertations de la commission "l'Union pour les municipales au Tampon", chargée de coordonner toutes les candidatures. Ce n'est pas aux partis politiques de faire la liste. C'est aux Tamponnais de faire leur choix. Les résultats du premier tour seront pour tous un premier verdict.
Seuls les Tamponnais et les Tamponnaises diront ce qu'ils veulent en termes d'alliances et de projets à l'issue du 1er tour.
Il est aujourd'hui un peu tôt pour en parler.
Pour ma part je respecterai prioritairement le choix du premier tour d'abord. Tout en m'assurant d'abord, de la seule prise en compte de l'intérêt de la population. Sachant que les considérations économiques et sociales doivent prévaloir dans la situation très grave, voire catastrophique, dont souffre la majorité d'entre nous".