
Dans ce séga typique anthologique que diffusent de temps à autres les chaînes des radios, Ti Frer nous brosse une image de son héroine, buveuse invétérée, qui est allée chez son boutiquier chinois se trouvant à une encablure du poste de police de Quartier Militaire pour se saouler.
C’est dire à quel point la boutique chinoise que nos parents et nos grands-parents ont connue jusqu’à une certaine époque, faisait partie du folklore mauricien, alors que la communauté chinoise de Maurice contrôlait le commerce en détail dans le pays.
Aujourd’hui l’époque est révolue avec la présence des supermarchés qui ont remplacé les boutiques chinoises d’artan en ville comme à la campagne.
< à suivre >
C’est dire à quel point la boutique chinoise que nos parents et nos grands-parents ont connue jusqu’à une certaine époque, faisait partie du folklore mauricien, alors que la communauté chinoise de Maurice contrôlait le commerce en détail dans le pays.
Aujourd’hui l’époque est révolue avec la présence des supermarchés qui ont remplacé les boutiques chinoises d’artan en ville comme à la campagne.
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