
Le constat est récurrent. Le rejet de la classe politique s'amplifie. Cette progression s'appuiera cette fois-ci sur le grand désintérêt de l'électorat pour ces élections cantonales. C'est un fait. Et comment en vouloir à ces électeurs qui ne croient en nos hommes politiques. Avantage donc à l'abstention.
Comment mieux exprimer ce rejet de la classe politique ? C'est simple en allant voter. C'est aller déposer dans l'urne un message pour un ou tous les candidats. Ce message, vous l'avez inscrit sur votre bulletin blanc. Votre suffrage s'est ainsi "exprimé". Avantage cette fois-ci au bulletin blanc.
Le vote blanc, c'est exprimé, dire et mieux faire entendre votre "voix". Si l'abstention est absorbée par le "taux de participation", le vote blanc est annoncé juste avant l'annonce du résultat de chaque candidat en pourcentage. La comparaison est alors plus significative.
Imaginez 50 % de vote blanc au lieu de 50 % d'abstention lors de ces cantonales. Imaginez alors ce qui peut se passer dans la tête des candidats. A votre avis de qui auront-ils le plus peur de l'abstention ou du vote blanc ?
Comment mieux exprimer ce rejet de la classe politique ? C'est simple en allant voter. C'est aller déposer dans l'urne un message pour un ou tous les candidats. Ce message, vous l'avez inscrit sur votre bulletin blanc. Votre suffrage s'est ainsi "exprimé". Avantage cette fois-ci au bulletin blanc.
Le vote blanc, c'est exprimé, dire et mieux faire entendre votre "voix". Si l'abstention est absorbée par le "taux de participation", le vote blanc est annoncé juste avant l'annonce du résultat de chaque candidat en pourcentage. La comparaison est alors plus significative.
Imaginez 50 % de vote blanc au lieu de 50 % d'abstention lors de ces cantonales. Imaginez alors ce qui peut se passer dans la tête des candidats. A votre avis de qui auront-ils le plus peur de l'abstention ou du vote blanc ?