En effet, celle-ci est sur la liste LPA-MoDem pour les élections européennes du 25 mai prochain.
Au-delà des poncifs classiques sur l’Europe du genre « Oui l’Europe, c’est la paix, l’Europe c’est la prospérité » qui ne font pas avancer la situation des citoyens européens d’aujourd’hui et réunionnais en particulier, une chose extrêmement grave m’a alerté dans une interview qu’elle a accordée ce lundi 12 mai dans un quotidien de la place.
Madame De Fondaumière déclare entre 2 propos technocratiques dignes d’un fonctionnaire européen éloigné des préoccupations des populations qui subissent le chômage et la baisse du pouvoir d’achat, l’essence même de sa candidature : « la politique communautaire de la pêche ne respecte pas l’or blanc – la légine notamment – de l’Océan Indien ».
La voilà donc la raison de la candidature de Madame De Fondaumière : défendre les quotas de pêche de légine d’une famille qui vous pousse et vous soutient à ces élections. Tout ça pour ça ! On se croirait revenu aux temps bénis de la Troisième République où les grandes compagnies lançaient des candidatures aux élections législatives pour défendre leurs intérêts économiques et commerciaux via des conquêtes coloniales françaises en Afrique et en Asie. Madame De Fondaumière, votre jeunesse n’excuse pas tout.
Les réunionnais ne veulent plus de candidats qui défendent les intérêts d’un clan ou d’une entreprise. Nous voulons des candidats et des élus de proximité qui défendent les intérêts de tous les citoyens réunionnais à Bruxelles et à Strasbourg (pouvoir d’achat, continuité territoriale, soutien aux productions agricoles, programmes d’équipement).
Au-delà des poncifs classiques sur l’Europe du genre « Oui l’Europe, c’est la paix, l’Europe c’est la prospérité » qui ne font pas avancer la situation des citoyens européens d’aujourd’hui et réunionnais en particulier, une chose extrêmement grave m’a alerté dans une interview qu’elle a accordée ce lundi 12 mai dans un quotidien de la place.
Madame De Fondaumière déclare entre 2 propos technocratiques dignes d’un fonctionnaire européen éloigné des préoccupations des populations qui subissent le chômage et la baisse du pouvoir d’achat, l’essence même de sa candidature : « la politique communautaire de la pêche ne respecte pas l’or blanc – la légine notamment – de l’Océan Indien ».
La voilà donc la raison de la candidature de Madame De Fondaumière : défendre les quotas de pêche de légine d’une famille qui vous pousse et vous soutient à ces élections. Tout ça pour ça ! On se croirait revenu aux temps bénis de la Troisième République où les grandes compagnies lançaient des candidatures aux élections législatives pour défendre leurs intérêts économiques et commerciaux via des conquêtes coloniales françaises en Afrique et en Asie. Madame De Fondaumière, votre jeunesse n’excuse pas tout.
Les réunionnais ne veulent plus de candidats qui défendent les intérêts d’un clan ou d’une entreprise. Nous voulons des candidats et des élus de proximité qui défendent les intérêts de tous les citoyens réunionnais à Bruxelles et à Strasbourg (pouvoir d’achat, continuité territoriale, soutien aux productions agricoles, programmes d’équipement).
Malheureusement, Madame De Fondamière, de cela vous en êtes loin. Le 25 mai prochain lors des élections européennes, les réunionnais sauront dire NON aux candidatures qui prennent l’alibi de la jeunesse mais qui en réalité défendent de vieilles combinaisons politiques aux bénéfices de quelques familles bien choisies.
Le Tampon