
Certes, une majorité des Alsaciens – 55,67 % – a choisi le oui. Mais la double condition de ce référendum n’était pas remplie : le oui devait obtenir 50 % des voix dans chacun des départements, et ce score devait représenter 25 % des inscrits.
Il y a eu une absence de mobilisation, flagrante à travers toute l’Alsace, avec 35 % de participation seulement. Même dans le Bas-Rhin où le oui est largement majoritaire, il n’a pas atteint la barre des 25 %. Mais la surprise vient du Haut-Rhin où le non devance nettement le oui.
Union de façade
Pourtant, c’est dans le sud de l’Alsace qu’il y avait, du moins en façade, le consensus le plus large. Car contrairement à ce qui s’est passé dans le Bas-Rhin où les socialistes penchaient en faveur du non, non seulement l’UMP, les centristes, les écologistes, mais aussi les socialistes s’étaient prononcés pour le oui.
Union de façade, sans doute, puisque certains élus PS comme certains élus UMP ont fait campagne pour le non. D’autres ont manqué singulièrement d’enthousiasme. Pourtant c’est bien le président haut-rhinois Charles Buttner qui a revendiqué de nouvelles compétences, en matière de bilinguisme et de coopération transfrontalière.
Il y a eu une absence de mobilisation, flagrante à travers toute l’Alsace, avec 35 % de participation seulement. Même dans le Bas-Rhin où le oui est largement majoritaire, il n’a pas atteint la barre des 25 %. Mais la surprise vient du Haut-Rhin où le non devance nettement le oui.
Union de façade
Pourtant, c’est dans le sud de l’Alsace qu’il y avait, du moins en façade, le consensus le plus large. Car contrairement à ce qui s’est passé dans le Bas-Rhin où les socialistes penchaient en faveur du non, non seulement l’UMP, les centristes, les écologistes, mais aussi les socialistes s’étaient prononcés pour le oui.
Union de façade, sans doute, puisque certains élus PS comme certains élus UMP ont fait campagne pour le non. D’autres ont manqué singulièrement d’enthousiasme. Pourtant c’est bien le président haut-rhinois Charles Buttner qui a revendiqué de nouvelles compétences, en matière de bilinguisme et de coopération transfrontalière.