
"L’histoire relativement récente de La Réunion est marquée par des erreurs d’aménagement qui ont hypothéqué et qui hypothèquent encore son avenir et son développement durable.
On se rappelle la suppression du chemin de fer, contre l’avis des élus communiste de l’époque et la construction de la route du littoral actuelle en pied de falaise, alors que d’autres, dont les communistes, avaient préconisé un autre tracé.
On se souvient aussi de la réalisation du barrage de la rivière de l’Est, qui conduit au rejet en mer de plus de 500 000 mètres cube d’eau potable chaque jour, alors que la réalisation de l’usine hydraulique plus en amont aurait permis la récupération de toute cette eau, évitant ainsi un tel gaspillage.
Enfin souvenons nous aussi du basculement des eaux d’Est en Ouest pour lequel le PCR avait émis d’autres préconisations.
A chaque fois, les élus communistes et le Parti Communiste Réunionnais se sont opposés à ces choix, qui loin d’être pertinents, posaient des problèmes écologiques, à terme, insurmontables. Le pire c’est que souvent les choix définitivement acceptés, l’étaient à l’encontre du positionnement du PCR qui pourtant, ne se contentait pas seulement de critiquer mais proposait aussi des solutions crédibles.
Aujourd’hui, les décisions de la présidence de la Région Réunion concernant la nouvelle route du littoral procèdent de la même démarche et constitue une erreur de plus d’aménagement du fait de son coût exorbitant (1,6 milliards d’euros au départ et combien à la livraison ?) et de son tracé aléatoire en mer en dépit du bon sens au regard des changements climatiques.
Il faut donc se mobiliser pour empêcher l’irréparable et faire surgir une solution appropriée et conforme aux objectifs du développement durable".
On se rappelle la suppression du chemin de fer, contre l’avis des élus communiste de l’époque et la construction de la route du littoral actuelle en pied de falaise, alors que d’autres, dont les communistes, avaient préconisé un autre tracé.
On se souvient aussi de la réalisation du barrage de la rivière de l’Est, qui conduit au rejet en mer de plus de 500 000 mètres cube d’eau potable chaque jour, alors que la réalisation de l’usine hydraulique plus en amont aurait permis la récupération de toute cette eau, évitant ainsi un tel gaspillage.
Enfin souvenons nous aussi du basculement des eaux d’Est en Ouest pour lequel le PCR avait émis d’autres préconisations.
A chaque fois, les élus communistes et le Parti Communiste Réunionnais se sont opposés à ces choix, qui loin d’être pertinents, posaient des problèmes écologiques, à terme, insurmontables. Le pire c’est que souvent les choix définitivement acceptés, l’étaient à l’encontre du positionnement du PCR qui pourtant, ne se contentait pas seulement de critiquer mais proposait aussi des solutions crédibles.
Aujourd’hui, les décisions de la présidence de la Région Réunion concernant la nouvelle route du littoral procèdent de la même démarche et constitue une erreur de plus d’aménagement du fait de son coût exorbitant (1,6 milliards d’euros au départ et combien à la livraison ?) et de son tracé aléatoire en mer en dépit du bon sens au regard des changements climatiques.
Il faut donc se mobiliser pour empêcher l’irréparable et faire surgir une solution appropriée et conforme aux objectifs du développement durable".