
Suite à un article de Bruny Payet sur la route du Littoral. Un internaute a pris la position qui suit :
"Ce 24 Brumaire de l'an 2012, bien loin de ces années 70, encore et encore cette question qui fait débat : La route du littorale.
Il est toujours question de cette route en corniche, celle-là même qui nous fait regretter aujourd'hui la disparition des merles blancs...
L'auteur nous met en garde contre un point de vue , celui d'un patron et rajoute-t-il « le lobby du ciment et du béton » dans notre île. Il nous livre son point de vu du haut de ses 90 ans d'expériences, respect Monsieur !
Cependant, comment ne pas réagir lorsqu'il conclue que la génération actuelle n’a pas encore trouvé elle aussi, la bonne réponse à ce défi historique !
Plus loin il nous dit ne pas vouloir être entraîné contre son gré dans l’aventure financière de la Région.
Ce projet, qui a connu par le passé l'approbation de tous, est devenu aujourd'hui une aventure financière, voire une folie technique...
Voilà la porte d'entrée dans le débat, voilà la raison qui divise : La faisabilité financière et technique.
Soit! Je me garderai bien d'occulter cet aspect des choses lorsqu'il sagit d'aménager mon territoire ; mais avons-nous là les véritables raisons pour différer encore et encore la nécessité de répondre à ce besoin ?
Il serait donc criminel de faire ce projet nous dit-il; mais alors pourquoi ?
Quelques faits me tourmentent.
Les contraintes générées par l'exploitation de cette route d'hier, construite avec les moyens et les connaissances d'hier, sont connues depuis bien longtemps déjà et s'imposent tous les jours et de jour en jour avec de plus en plus de force ! Différer toujours et toujours est inacceptable quand on est en responsabilité !
Que dire et que penser des décisions prises par celles et ceux qui étaient aux affaires hier ? Allons-nous les traiter de criminels ? Que penser de ce choix qu'ils ont fait de laisser aux générations futures le soin de trouver les solutions tout en augmentant de fait les contraintes ? Allons-nous les traiter de criminels ?
Que penser de la place et du temps laissés à la nouvelle génération durant ces 30 dernières années ? Que penser de ces choix délibérés de les priver l’accès aux centres des pouvoirs et des décisions ? Ne pourrions-nous pas les traiter de criminels sur ce point là ? La question est ouverte !
Le raisonnement de l'auteur est recevable. Cependant ce raisonnement m'interpelle par ailleurs.
En effet, je veux évoquer un autre projet dans un autre temps, la route des Tamarins.
Pour ce projet de route des Tamarins les mêmes mises en garde avaient été formulées : La non-faisabilité technique et financière...
Que penser aujourd'hui de l'hypothèse de l'abandon du projet de cette route ? Le sondage est lancé !
Pour ma part je dis merci à celles et ceux qui, sur ce point là, ont su résister à l'irresponsabilité, à la malhonnêteté intellectuelle ou encore à l'immobilisme de certains qui confondaient Politique et politique...
"Ce 24 Brumaire de l'an 2012, bien loin de ces années 70, encore et encore cette question qui fait débat : La route du littorale.
Il est toujours question de cette route en corniche, celle-là même qui nous fait regretter aujourd'hui la disparition des merles blancs...
L'auteur nous met en garde contre un point de vue , celui d'un patron et rajoute-t-il « le lobby du ciment et du béton » dans notre île. Il nous livre son point de vu du haut de ses 90 ans d'expériences, respect Monsieur !
Cependant, comment ne pas réagir lorsqu'il conclue que la génération actuelle n’a pas encore trouvé elle aussi, la bonne réponse à ce défi historique !
Plus loin il nous dit ne pas vouloir être entraîné contre son gré dans l’aventure financière de la Région.
Ce projet, qui a connu par le passé l'approbation de tous, est devenu aujourd'hui une aventure financière, voire une folie technique...
Voilà la porte d'entrée dans le débat, voilà la raison qui divise : La faisabilité financière et technique.
Soit! Je me garderai bien d'occulter cet aspect des choses lorsqu'il sagit d'aménager mon territoire ; mais avons-nous là les véritables raisons pour différer encore et encore la nécessité de répondre à ce besoin ?
Il serait donc criminel de faire ce projet nous dit-il; mais alors pourquoi ?
Quelques faits me tourmentent.
Les contraintes générées par l'exploitation de cette route d'hier, construite avec les moyens et les connaissances d'hier, sont connues depuis bien longtemps déjà et s'imposent tous les jours et de jour en jour avec de plus en plus de force ! Différer toujours et toujours est inacceptable quand on est en responsabilité !
Que dire et que penser des décisions prises par celles et ceux qui étaient aux affaires hier ? Allons-nous les traiter de criminels ? Que penser de ce choix qu'ils ont fait de laisser aux générations futures le soin de trouver les solutions tout en augmentant de fait les contraintes ? Allons-nous les traiter de criminels ?
Que penser de la place et du temps laissés à la nouvelle génération durant ces 30 dernières années ? Que penser de ces choix délibérés de les priver l’accès aux centres des pouvoirs et des décisions ? Ne pourrions-nous pas les traiter de criminels sur ce point là ? La question est ouverte !
Le raisonnement de l'auteur est recevable. Cependant ce raisonnement m'interpelle par ailleurs.
En effet, je veux évoquer un autre projet dans un autre temps, la route des Tamarins.
Pour ce projet de route des Tamarins les mêmes mises en garde avaient été formulées : La non-faisabilité technique et financière...
Que penser aujourd'hui de l'hypothèse de l'abandon du projet de cette route ? Le sondage est lancé !
Pour ma part je dis merci à celles et ceux qui, sur ce point là, ont su résister à l'irresponsabilité, à la malhonnêteté intellectuelle ou encore à l'immobilisme de certains qui confondaient Politique et politique...