Six de ces logements ont été squattés par des familles le 29 mars 2011. Cette situation est particulièrement problématique à plusieurs titres :
- les logements concernés sont réalisés dans le cadre d’une opération de résorption de l’habitat insalubre (RHI) qui vise en priorité à reloger les familles habitant dans le périmètre de la RHI. Or, les squatters habitent tous en dehors de la RHI ;
- la commission d’attribution compétente avait déjà procédé à l’attribution des six logements en cause à des familles recensées au titre de la RHI, qui remplissent les conditions d’attribution et attendent leur logement depuis des années ; celles-ci disposent donc d’un titre légal d’occupation de leur logement et se trouvent gravement lésées aujourd’hui ;
- pour la plupart d’entre elles, les familles qui squattent n’ont pas déposé de dossier de demande de logement social auprès de la Mairie ou de la SEDRE ;
- Néanmoins soucieuse de la situation de détresse de ces familles, la Commune de Saint Paul leur a proposé des solutions de relogement d’urgence qu’elles ont déclinées, exigeant de surcroit de pouvoir rester dans les logements qu’elles occupent aujourd’hui, ou à défaut, que leur soient attribués d’autres logements à titre définitif.
Compte tenu des éléments qui précèdent, nous condamnons de la manière la plus ferme l’occupation de ces logements par la force ainsi que les exigences inacceptables de leurs auteurs.
La SEDRE a néanmoins privilégié le dialogue avec ces familles, pour qu’elles acceptent une solution d’hébergement d’urgence et qu’elles n’aient pas à subir de condamnations qui aggraveraient lourdement leur situation.
Il est rappelé à cet égard que contrairement à certaines informations véhiculées par des personnes à l’évidence particulièrement mal intentionnées, la SEDRE a constamment, depuis le début de cet incident, laissé ouverte la porte du dialogue.
Mais parallèlement, nous avons engagé une action judiciaire en référé en vue d’obtenir la libération des logements occupés, en sollicitant si nécessaire le concours de la force publique.
La SEDRE reste déterminée à faire respecter ses droits ainsi que ceux de ses locataires lésés, lesquels se trouvent aujourd’hui dans une situation sociale tout aussi urgente.
Pour la SEDRE, le Directeur général
- les logements concernés sont réalisés dans le cadre d’une opération de résorption de l’habitat insalubre (RHI) qui vise en priorité à reloger les familles habitant dans le périmètre de la RHI. Or, les squatters habitent tous en dehors de la RHI ;
- la commission d’attribution compétente avait déjà procédé à l’attribution des six logements en cause à des familles recensées au titre de la RHI, qui remplissent les conditions d’attribution et attendent leur logement depuis des années ; celles-ci disposent donc d’un titre légal d’occupation de leur logement et se trouvent gravement lésées aujourd’hui ;
- pour la plupart d’entre elles, les familles qui squattent n’ont pas déposé de dossier de demande de logement social auprès de la Mairie ou de la SEDRE ;
- Néanmoins soucieuse de la situation de détresse de ces familles, la Commune de Saint Paul leur a proposé des solutions de relogement d’urgence qu’elles ont déclinées, exigeant de surcroit de pouvoir rester dans les logements qu’elles occupent aujourd’hui, ou à défaut, que leur soient attribués d’autres logements à titre définitif.
Compte tenu des éléments qui précèdent, nous condamnons de la manière la plus ferme l’occupation de ces logements par la force ainsi que les exigences inacceptables de leurs auteurs.
La SEDRE a néanmoins privilégié le dialogue avec ces familles, pour qu’elles acceptent une solution d’hébergement d’urgence et qu’elles n’aient pas à subir de condamnations qui aggraveraient lourdement leur situation.
Il est rappelé à cet égard que contrairement à certaines informations véhiculées par des personnes à l’évidence particulièrement mal intentionnées, la SEDRE a constamment, depuis le début de cet incident, laissé ouverte la porte du dialogue.
Mais parallèlement, nous avons engagé une action judiciaire en référé en vue d’obtenir la libération des logements occupés, en sollicitant si nécessaire le concours de la force publique.
La SEDRE reste déterminée à faire respecter ses droits ainsi que ceux de ses locataires lésés, lesquels se trouvent aujourd’hui dans une situation sociale tout aussi urgente.
Pour la SEDRE, le Directeur général