
Revenons au sondage supportant notre accroche. Il n'a pas été demandé de manière anodine par des gens anodins. Il conforte ce que certains esprits politiques et économiques partisans, demandent depuis quelques temps et au plus fort de la crise, dans le cadre de la réduction des dépenses publiques. Une réflexion sur les économies possibles dans les versements des prestations sociales.
Cela part d'un bon sentiment mais s'avère, hélas, insuffisant pour être honnête car ne servant que les intérêts d'une idéologie de gauche au détriment de l'intérêt des Français dans leur ensemble et du pays en particulier. En effet, la recherche d'une certaine égalité pour le citoyen aurait préconisé d'aller plus loin dans ce sondage.
Pourquoi ne pose t-il que la question des revenus et non pas celui également du nombre d'enfant maximum pouvant pouvant bénéficier des prestations de la Caisse d'Allocations Familiales ?... Alors, un sondage pour conforter une prochaine mesure d'économie votée par un gouvernement socialiste ?... sans aucun doute, point n'est besoin d'être mage pour le deviner, mais pourquoi alors ne pas aller au fond des choses et en profiter pour inclure dans cette prochaine mesure, celle d'un nombre maximum d'enfant pouvant bénéficier des allocations familiales ?
En effet, il faut savoir que le seuil de 3 enfants par femme suffit au renouvellement de la population. Pourquoi ne pas considérer par exemple un maximum de 3 enfants par foyer pour le versement des allocations familiales ? …
De même, pourquoi ne pas choisir de verser une allocation plus « significative » à la femme ou au couple dès leur 1er enfant (Cette allocation est en effet, aujourd'hui plus que ridicule, voire insultante...) et encourager ainsi la procréation sans l'assistanat. En tout état de cause, un enfant coûte autant qu'un autre et le système français visant à favoriser le nombre et non la situation mérite en effet d'être remis en cause.
C'est ainsi, il ne faut pas se cacher les yeux et avoir peur de l'affirmer, une bonne partie de la population française aujourd'hui, bien souvent d'origine étrangère (et ce n'est pas un gros mot !..), dans les DOM-TOM aussi et sa région, favorise la procréation pour pouvoir obtenir des allocations conséquentes, sans n'avoir jamais besoin de travailler. Elles jouissent toutes bien évidemment des mêmes droits et prérogatives que leur accorde la loi française et auraient donc bien tort de s'en priver et de ne pas profiter du système.
Nous sommes cependant aujourd'hui dans une situation de grave crise économique et nous empruntons chaque mois pour ne rembourser finalement que les intérêts de notre dette. Est-il indélicat, outrageant, incorrecte, d'essayer de rétablir un système qui n'a fait que dériver depuis une trentaine d'années, pour ne favoriser que ceux qui choisissent la voie de la procréation à répétition au détriment de ceux qui construisent et conçoivent la famille au travers non pas de l'assistanat exclusif permanent, mais aussi de leur travail ? ...
Cette limitation arrêterait à coup sûr la dérive d'une système ruineux pour la France et aurait, j'en suis persuadé, le mérite d'être bénéfique à l'enfant lui-même, mieux désiré et mieux accueilli. Ce serait également un signal fort lancé à ceux qui ne perçoive notre pays que comme une pompe financière.
Certains, et je les connais bien par leur idéologie, vont feindre de s'étonner, voire même s'offusquer d'une telle prise de position. Mais elle a un sens que beaucoup admettent sans oser cependant en disserter, de peur de passer pour des « extrémistes ou des fachos », voire des racistes... Il faut aller au delà de ce politiquement correcte et de cette police de la pensée unique.
Alors si, comme le souhaitent à mots cachés nos responsables politiques, il faut conditionner le versement des allocations familiales à un certain seuil de ressources, allons au bout des choses et limitons également leur versement à 3 enfants maximum.
Un enfant doit rester le fruit d'un amour, d'une union... pas un moyen de gagner de l'argent, d'assurer sa subsistance ou ses vieux jours.
Cela part d'un bon sentiment mais s'avère, hélas, insuffisant pour être honnête car ne servant que les intérêts d'une idéologie de gauche au détriment de l'intérêt des Français dans leur ensemble et du pays en particulier. En effet, la recherche d'une certaine égalité pour le citoyen aurait préconisé d'aller plus loin dans ce sondage.
Pourquoi ne pose t-il que la question des revenus et non pas celui également du nombre d'enfant maximum pouvant pouvant bénéficier des prestations de la Caisse d'Allocations Familiales ?... Alors, un sondage pour conforter une prochaine mesure d'économie votée par un gouvernement socialiste ?... sans aucun doute, point n'est besoin d'être mage pour le deviner, mais pourquoi alors ne pas aller au fond des choses et en profiter pour inclure dans cette prochaine mesure, celle d'un nombre maximum d'enfant pouvant bénéficier des allocations familiales ?
En effet, il faut savoir que le seuil de 3 enfants par femme suffit au renouvellement de la population. Pourquoi ne pas considérer par exemple un maximum de 3 enfants par foyer pour le versement des allocations familiales ? …
De même, pourquoi ne pas choisir de verser une allocation plus « significative » à la femme ou au couple dès leur 1er enfant (Cette allocation est en effet, aujourd'hui plus que ridicule, voire insultante...) et encourager ainsi la procréation sans l'assistanat. En tout état de cause, un enfant coûte autant qu'un autre et le système français visant à favoriser le nombre et non la situation mérite en effet d'être remis en cause.
C'est ainsi, il ne faut pas se cacher les yeux et avoir peur de l'affirmer, une bonne partie de la population française aujourd'hui, bien souvent d'origine étrangère (et ce n'est pas un gros mot !..), dans les DOM-TOM aussi et sa région, favorise la procréation pour pouvoir obtenir des allocations conséquentes, sans n'avoir jamais besoin de travailler. Elles jouissent toutes bien évidemment des mêmes droits et prérogatives que leur accorde la loi française et auraient donc bien tort de s'en priver et de ne pas profiter du système.
Nous sommes cependant aujourd'hui dans une situation de grave crise économique et nous empruntons chaque mois pour ne rembourser finalement que les intérêts de notre dette. Est-il indélicat, outrageant, incorrecte, d'essayer de rétablir un système qui n'a fait que dériver depuis une trentaine d'années, pour ne favoriser que ceux qui choisissent la voie de la procréation à répétition au détriment de ceux qui construisent et conçoivent la famille au travers non pas de l'assistanat exclusif permanent, mais aussi de leur travail ? ...
Cette limitation arrêterait à coup sûr la dérive d'une système ruineux pour la France et aurait, j'en suis persuadé, le mérite d'être bénéfique à l'enfant lui-même, mieux désiré et mieux accueilli. Ce serait également un signal fort lancé à ceux qui ne perçoive notre pays que comme une pompe financière.
Certains, et je les connais bien par leur idéologie, vont feindre de s'étonner, voire même s'offusquer d'une telle prise de position. Mais elle a un sens que beaucoup admettent sans oser cependant en disserter, de peur de passer pour des « extrémistes ou des fachos », voire des racistes... Il faut aller au delà de ce politiquement correcte et de cette police de la pensée unique.
Alors si, comme le souhaitent à mots cachés nos responsables politiques, il faut conditionner le versement des allocations familiales à un certain seuil de ressources, allons au bout des choses et limitons également leur versement à 3 enfants maximum.
Un enfant doit rester le fruit d'un amour, d'une union... pas un moyen de gagner de l'argent, d'assurer sa subsistance ou ses vieux jours.