Les deux délégués de circonscription (l'un est proche de René-Paul Victoria) à qui Didier Robert a fait cette proposition, ont fait circuler l'information jusqu'à Paris. Les instances nationales n'ont pas tardé à réagir. Ainsi, elles ont en premier, retourné aux deux expéditeurs (Didier Robert et Jean-Jacques Morel) leur bulletin d'adhésion et leur chèque de cotisation à l'UMP. Ce qui a obligé les deux membres d'Objectif Réunion, à s'inscrire par internet et à payer par carte bleue. Ce qui leur a permis d'adhérer à l'UMP.
L'UMP a alors cherché un moyen de se débarrasser de ces deux nouveaux adhérents. La transformation d'Objectif Réunion en un parti politique, c'était lundi soir, a été une opportunité. Même s'il est vrai que cela fait plusieurs semaines que les délégués de circonscription UMP, sollicitent Paris pour que "l'UMP arrête de servir de marche-pied à Objectif Réunion et à Didier Robert. L'UMP n'existe plus. Rien n'est fait ou proposer alors que nous sommes à cinq mois des Municipales 2014". Ici, c'est surtout Michel Fontaine qui est visé.
Paris avait donc deux bonnes raisons pour passer à l'offensive. L'UMP nationale l'a fait en début de semaine. Et elle fait d'une pierre deux coups : reprendre la main sur la fédération locale, et régler ses comptes avec Didier Robert. Personnellement, Jean Simonetti n'a toujours pas digéré le rendez-vous manqué avec celui qui était alors le patron de la Droite locale, Didier Robert. Le secrétaire national chargé de l'Outre-mer devrait le retrouver à Vauban, au siège de l'UMP Saint-Denis.
Ce jour-là, Jean-Louis Maillot alors son directeur de cabinet à la Région Réunion, s'est découvert des talents de diplomate, et à expliquer l'absence de son patron. L'UMP reproche aussi à Didier Robert son attitude au second tour des Législatives 2012, lorsqu'il a demandé à la Droite de ne pas soutenir André Thien-Ah-Koon, pourtant bien placé dans la troisième circonscription. Sur ce scrutin et celui des Cantonales de 2011, l'UMP avait laissé carte blanche au patron d'Objectif Réunion. Le résultat a été décevant, surtout à la députation...
L'UMP a alors cherché un moyen de se débarrasser de ces deux nouveaux adhérents. La transformation d'Objectif Réunion en un parti politique, c'était lundi soir, a été une opportunité. Même s'il est vrai que cela fait plusieurs semaines que les délégués de circonscription UMP, sollicitent Paris pour que "l'UMP arrête de servir de marche-pied à Objectif Réunion et à Didier Robert. L'UMP n'existe plus. Rien n'est fait ou proposer alors que nous sommes à cinq mois des Municipales 2014". Ici, c'est surtout Michel Fontaine qui est visé.
Paris avait donc deux bonnes raisons pour passer à l'offensive. L'UMP nationale l'a fait en début de semaine. Et elle fait d'une pierre deux coups : reprendre la main sur la fédération locale, et régler ses comptes avec Didier Robert. Personnellement, Jean Simonetti n'a toujours pas digéré le rendez-vous manqué avec celui qui était alors le patron de la Droite locale, Didier Robert. Le secrétaire national chargé de l'Outre-mer devrait le retrouver à Vauban, au siège de l'UMP Saint-Denis.
Ce jour-là, Jean-Louis Maillot alors son directeur de cabinet à la Région Réunion, s'est découvert des talents de diplomate, et à expliquer l'absence de son patron. L'UMP reproche aussi à Didier Robert son attitude au second tour des Législatives 2012, lorsqu'il a demandé à la Droite de ne pas soutenir André Thien-Ah-Koon, pourtant bien placé dans la troisième circonscription. Sur ce scrutin et celui des Cantonales de 2011, l'UMP avait laissé carte blanche au patron d'Objectif Réunion. Le résultat a été décevant, surtout à la députation...