
Ce mercredi 22 février, la Réunion se réveille avec difficultés après une nuit mouvementée où la détresse sociale trouve des débordements dans la rue pour exprimer un ras le bol général contre la vie chère.
Cette situation personne ne l’a souhaitée, ni les manifestants ni la population, ni les autorités, ni les élus. Pourtant, elle ne peut occulter la fragilité de notre société frappée par l’urgence de trouver des solutions pour une population qui ne sait plus comment joindre les deux bouts.
Ce même jour le Conseil général est le théâtre de turbulences dans la majorité, avec des attentes fortes des élus et de la population sur la conduite des affaires du département. C’est un jour grave, et pourtant que découvrons nous : une grande fête est organisée au jardin de l’état.
Un carnaval gigantesque comme si de rien n'était avec la présidente est organisé en toute indécence alors que le peuple est dans la rue pour crier son désarroi. L’image est décalée mais elle est bien réelle.
Ce qui est attendu est plus de mesure dans la gestion de l’argent public. Une vraie aide vers ceux qui en ont besoin. L’amusement n’est pas de mise en période de crise aussi grave. La solidarité passe aussi par là. La fin de la récréation doit sonner.
Cette situation personne ne l’a souhaitée, ni les manifestants ni la population, ni les autorités, ni les élus. Pourtant, elle ne peut occulter la fragilité de notre société frappée par l’urgence de trouver des solutions pour une population qui ne sait plus comment joindre les deux bouts.
Ce même jour le Conseil général est le théâtre de turbulences dans la majorité, avec des attentes fortes des élus et de la population sur la conduite des affaires du département. C’est un jour grave, et pourtant que découvrons nous : une grande fête est organisée au jardin de l’état.
Un carnaval gigantesque comme si de rien n'était avec la présidente est organisé en toute indécence alors que le peuple est dans la rue pour crier son désarroi. L’image est décalée mais elle est bien réelle.
Ce qui est attendu est plus de mesure dans la gestion de l’argent public. Une vraie aide vers ceux qui en ont besoin. L’amusement n’est pas de mise en période de crise aussi grave. La solidarité passe aussi par là. La fin de la récréation doit sonner.