
Une rencontre d’une heure et demi a eu lieu avec la direction de Véolia représenté par :
- Stéphane Laurent superviseur des installations,
- Philippe Vincent le chargé de la clientèle,
- Claude Le-Guidec le directeur Régional.
Nous rappelons que suite à des analyses de l’ARS des parasites ont été détecté dans l’eau du robinet ce qui pose un problème de santé publique. Des parasites détectés en mars 2012 et la population avertie timidement seulement fin mai 2013. Nous voulons faire tout la lumière sur cette affaire, définir les responsabilités et obliger le pouvoir à réagir pour une qualité de l’eau digne de se nom à Bras Panon et à La Réunion.
Au regard de cette rencontre et aux dires de la direction de Véolia nous pouvons apporter les éléments suivants.
Veolia dans le cadre de ses rapports annuels avait dés 2004 averti la municipalité sur les risques encourus notamment à cause de l’absence des périmètres de sécurité.
Pourquoi donc le maire Daniel Gonthier n’a pas réagi à une obligation d’application de la loi ? Pourquoi s’est il permit de mettre la population en danger ? Qu’elle est la sanction prévue et que compte faire les autorités de lois contre de tels agissements ?
La loi dit clairement que les périmètres de sécurité et les prescriptions associées font l’objet d’un arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (DUP), qu’en est-il ? (cf. Article L. 1321-1 code de la santé publique (Loi nº 2004-806 du 9 août 2004 art. 56 Journal Officiel du 11 août2004). Et pourquoi le courrier en date du 12 juin 2013 que j’ai transmit à Monsieur le préfet de la Réunion reste-t-il sans réponse ?
Constat, la population concernée continu à consommer et à payer chère une eau impropre à la consommation car la communication des autorités a tendance à minimiser les risques à cours et moyen terme pour les personnes qui seront contaminées par les parasites ou autres problèmes si les périmètres de sécurité ne sont pas réalisé en urgence.
J’informe que nous allons continuer nos investigations et que dés à présent nous demandons audience à l’ARS et à Monsieur le Préfet de la Réunion.
A défaut d’une aide des autorités publiques sur la mise à disposition de bouteille d’eau, j’appelle la population à la vigilance et à faire valoir leur droit pour une eau qui protège la santé et non l’inverse".
- Stéphane Laurent superviseur des installations,
- Philippe Vincent le chargé de la clientèle,
- Claude Le-Guidec le directeur Régional.
Nous rappelons que suite à des analyses de l’ARS des parasites ont été détecté dans l’eau du robinet ce qui pose un problème de santé publique. Des parasites détectés en mars 2012 et la population avertie timidement seulement fin mai 2013. Nous voulons faire tout la lumière sur cette affaire, définir les responsabilités et obliger le pouvoir à réagir pour une qualité de l’eau digne de se nom à Bras Panon et à La Réunion.
Au regard de cette rencontre et aux dires de la direction de Véolia nous pouvons apporter les éléments suivants.
Veolia dans le cadre de ses rapports annuels avait dés 2004 averti la municipalité sur les risques encourus notamment à cause de l’absence des périmètres de sécurité.
Pourquoi donc le maire Daniel Gonthier n’a pas réagi à une obligation d’application de la loi ? Pourquoi s’est il permit de mettre la population en danger ? Qu’elle est la sanction prévue et que compte faire les autorités de lois contre de tels agissements ?
La loi dit clairement que les périmètres de sécurité et les prescriptions associées font l’objet d’un arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (DUP), qu’en est-il ? (cf. Article L. 1321-1 code de la santé publique (Loi nº 2004-806 du 9 août 2004 art. 56 Journal Officiel du 11 août2004). Et pourquoi le courrier en date du 12 juin 2013 que j’ai transmit à Monsieur le préfet de la Réunion reste-t-il sans réponse ?
Constat, la population concernée continu à consommer et à payer chère une eau impropre à la consommation car la communication des autorités a tendance à minimiser les risques à cours et moyen terme pour les personnes qui seront contaminées par les parasites ou autres problèmes si les périmètres de sécurité ne sont pas réalisé en urgence.
J’informe que nous allons continuer nos investigations et que dés à présent nous demandons audience à l’ARS et à Monsieur le Préfet de la Réunion.
A défaut d’une aide des autorités publiques sur la mise à disposition de bouteille d’eau, j’appelle la population à la vigilance et à faire valoir leur droit pour une eau qui protège la santé et non l’inverse".