Huguette Bello a été sans doute au paroxysme de sa notoriété et de la sympathie de la population, au soir du premier tour des Législatives. Un aboutissement suite à ses multiples actions et engagements envers la femme et la famille. Et aussi son positionnement au sein du parti communiste réunionnais. Le soutien conscient ou inconscient d'une presse plus ou moins gauchiste, a porté Huguette Bello au plus haut des sondages et à la mairie de Saint-Paul et à l'Assemblée nationale. Avec brio.
Etre dans l'opposition, ça a du bon. Car, c'est plus facile de pointer du doigt tout ce qui ne va pas, plutôt que mener à bien et jusqu'au bout un projet pour le mieux être du plus grand nombre. Huguette Bello est passé d'un extrême à l'autre. Elle est même devenue chef de parti. Si l'on en croit Yves Mont-Rouge, rédacteur en Chef du Journal de l'île et de Clicanoo, le changement et les embêtements, c'est maintenant. Selon l'éditorialiste, Huguette Bello a "invité" par courrier des employés communaux "au grand rassemblement fondateur du MPR (Mouvement pour La Réunion)" qui aura lieu ce dimanche à Saint-Paul.
Voilà une tradition utilisée à outrance par la plupart des partis politiques, maintes fois dénoncée, mais jamais résorbée. Et, voilà aujourd'hui Huguette Bello qui macule son image de cette souillure. Autre embêtement : le choix du candidat pour les Municipales de 2014. La stratégie voulue par la députée-maire de Saint-Paul, fait des victimes collatérales dans son propre camp. La parlementaire découvre qu'être chef de parti a aussi des inconvénients. Et fait des mécontents. Le choix d'Emmanuel Séraphin pour la présidence du TCO et comme tête de liste pour les Municipales de 2014, aura des conséquences sur la solidarité municipale, et la notoriété presqu'immaculée de l'élue.
Cette fois, c'est parti ! il y aura des cris, des pleurs et des grincements de dents. Et cela sous le regard amusé des adversaires, mais surtout du parti communiste réunionnais. Si les Saints-Paulois et La Réunion peuvent être indulgents, les membres du PCRne feront aucun cadeau à Huguette Bello, ses moindres erreurs seront mises exergue, déformées et amplifiées… C'est un peu la fin du temps de l'innocence pour cette femme politique indépendante. Commence celui des stratégies et des embêtements. Des mécontents. Des tensions latentes et récurrentes. Et des membres du conseil municipal et du parti qui appellent la presse pour dénoncer les "chouchous"...
Etre dans l'opposition, ça a du bon. Car, c'est plus facile de pointer du doigt tout ce qui ne va pas, plutôt que mener à bien et jusqu'au bout un projet pour le mieux être du plus grand nombre. Huguette Bello est passé d'un extrême à l'autre. Elle est même devenue chef de parti. Si l'on en croit Yves Mont-Rouge, rédacteur en Chef du Journal de l'île et de Clicanoo, le changement et les embêtements, c'est maintenant. Selon l'éditorialiste, Huguette Bello a "invité" par courrier des employés communaux "au grand rassemblement fondateur du MPR (Mouvement pour La Réunion)" qui aura lieu ce dimanche à Saint-Paul.
Voilà une tradition utilisée à outrance par la plupart des partis politiques, maintes fois dénoncée, mais jamais résorbée. Et, voilà aujourd'hui Huguette Bello qui macule son image de cette souillure. Autre embêtement : le choix du candidat pour les Municipales de 2014. La stratégie voulue par la députée-maire de Saint-Paul, fait des victimes collatérales dans son propre camp. La parlementaire découvre qu'être chef de parti a aussi des inconvénients. Et fait des mécontents. Le choix d'Emmanuel Séraphin pour la présidence du TCO et comme tête de liste pour les Municipales de 2014, aura des conséquences sur la solidarité municipale, et la notoriété presqu'immaculée de l'élue.
Cette fois, c'est parti ! il y aura des cris, des pleurs et des grincements de dents. Et cela sous le regard amusé des adversaires, mais surtout du parti communiste réunionnais. Si les Saints-Paulois et La Réunion peuvent être indulgents, les membres du PCRne feront aucun cadeau à Huguette Bello, ses moindres erreurs seront mises exergue, déformées et amplifiées… C'est un peu la fin du temps de l'innocence pour cette femme politique indépendante. Commence celui des stratégies et des embêtements. Des mécontents. Des tensions latentes et récurrentes. Et des membres du conseil municipal et du parti qui appellent la presse pour dénoncer les "chouchous"...