
Henri Hippolyte a la culture de la lutte. "Notre famille vivait dans ce qu'on appelait à l'époque, les immeubles pétrole. Il n'y avait pas d'électricité voire d'eau courante dans ces HLM". Et quand il y avait l'eau courante, il y avait aussi les remontées d'eau usée et les inondations dans l'appartement familial. "On passait des soirées à éponger, à nettoyer et à faire disparaître les mauvaises odeurs". Sans trop se plaindre.
C'est au travers d'une Amicale des locataires que le jeune adulte découvre alors le bénévolat et le militantisme. Se mettre au service des autres. "Comme c'est encore le cas des habitations individuelles ou collectives, aujourd'hui, l'objectif est le même : attirer l'attention des bailleurs sur l'état de l'immobilier mis en location. Il y a des familles modestes qui vivent dans des conditions extrêmes. C'est vrai dans toutes les communes de La Réunion".
Défenseur et promoteur de la culture "à l'Atelier portois avec Alain Séraphine, au Village Titan, à Pipangaï ou à l'école des Beaux arts", Henri Hippolyte a gravi les échelons du savoir et du savoir-faire au service des autres. "J'ai été simple adhérent, trésorier, président, salarié. J'ai appris à gérer une structure associative". Sa route l'a conduit à la politique. En 2008, il devient adjoint à la mairie du Port. "La politique n'est pas une fin en soi. C'est disposer de plus de moyens pour avancer".
Elu conseiller général en 2011, l'adjoint au maire à la vie associative et aux finances, a hérité de l'Action sociale et de la solidarité. "C'est un autre niveau de décision, et aussi une autre opportunité. Une association exécute les tâches publiques. La politique permet de mieux imposer la structure associative dans sa dimension entrepreneuriale. Il y a là une alternative à l'économie sociale et solidaire. L'argent public ne doit plus être investi à fonds perdu".
Henri Hippolyte défend aussi sa "vision communiste de la politique. Nous devons aider les gens, à les aider soi-même, à s'émanciper, à devenir autonome et indépendant…"
C'est au travers d'une Amicale des locataires que le jeune adulte découvre alors le bénévolat et le militantisme. Se mettre au service des autres. "Comme c'est encore le cas des habitations individuelles ou collectives, aujourd'hui, l'objectif est le même : attirer l'attention des bailleurs sur l'état de l'immobilier mis en location. Il y a des familles modestes qui vivent dans des conditions extrêmes. C'est vrai dans toutes les communes de La Réunion".
Défenseur et promoteur de la culture "à l'Atelier portois avec Alain Séraphine, au Village Titan, à Pipangaï ou à l'école des Beaux arts", Henri Hippolyte a gravi les échelons du savoir et du savoir-faire au service des autres. "J'ai été simple adhérent, trésorier, président, salarié. J'ai appris à gérer une structure associative". Sa route l'a conduit à la politique. En 2008, il devient adjoint à la mairie du Port. "La politique n'est pas une fin en soi. C'est disposer de plus de moyens pour avancer".
Elu conseiller général en 2011, l'adjoint au maire à la vie associative et aux finances, a hérité de l'Action sociale et de la solidarité. "C'est un autre niveau de décision, et aussi une autre opportunité. Une association exécute les tâches publiques. La politique permet de mieux imposer la structure associative dans sa dimension entrepreneuriale. Il y a là une alternative à l'économie sociale et solidaire. L'argent public ne doit plus être investi à fonds perdu".
Henri Hippolyte défend aussi sa "vision communiste de la politique. Nous devons aider les gens, à les aider soi-même, à s'émanciper, à devenir autonome et indépendant…"