Samedi, Maurice Gironcel tenait meeting au centre ville de Sainte-Suzanne. "A 500 m de là, à vol d'oiseau", Daniel Alamélou dévoilait une partie de son programme devant le lycée de Bel-Air. Jean-Yves Langenier écoutait Maurice Gironcel. Amélia Ramin, la veuve de Lucet Langenier, et Leïla Langenier, la fille du défunt maire, étaient attentives au discours de Daniel Alamélou.
Deux hommes. Deux ambitieux. Deux visions. Deux politiques. Deux méthodes. Maurice Gironcel est l'homme d'un parti. Le PCR. Daniel Alamélou est parti sans étiquette à ces Municipales partielles. Gironcel a un discours politique. Alamélou est un homme de dossier. Un technicien. Et c'est très perceptible dans les rencontres avec la population. C'est sans doute à ce niveau que se fera la différence.
Samedi, Maurice Gironcel s'est situé dans la ligne politique du PCR/Alliance. Tout comme l'a fait Elie Hoarau, secrétaire général du PCR. Les orateurs communistes qui se sont succédés au micro, ont dénoncé tout ce qui ne va pas, et ont pointé du doigt les auteurs de l'actuelle crise sociale : l'Etat, la Région, la Droite, les gros patrons… Et pour lier Daniel Alamélou à ce camp des nantis, Maurice Gironcel a eu cette phrase ironique : "Je ne fais pas campagne en chemise, pantalon et chaussures de marque".
"A 500 m de là à vol d'oiseau", un grand brun, chemise rouge (?), chaussures, pantalon, et veste cuir noirs, rappelait que "le 29 janvier, ce ne sont pas les Municipales partielles du Port, de La Possession ou de Saint-Louis", mais celles de Sainte-Suzanne". Histoire de dire que Maurice Gironcel n'est pas capable de mener seul sa campagne, et qu'une bonne partie du public présent venait d'autres communes.
Quand Maurice Gironcel parle de "la parole donnée et qui n'a pas été respectée", Daniel Alamélou répond : "Nous avons été élus pour quatre. Pourquoi n'a-t-il voulu attendre les deux ans qui restent. Et, puis la mairie appartient au peuple, pas à un homme, ni à un parti politique…"
La campagne est bien parti. Et la confrontation entre Maurice Gironcel et Daniel Alamélou, le père spirituel et son fils prodige, en sera sans conteste le fil rouge (sans aucun jeu de mot. Vous ne croyez pas. Je vous assure. Vous avez ma parole).
Deux hommes. Deux ambitieux. Deux visions. Deux politiques. Deux méthodes. Maurice Gironcel est l'homme d'un parti. Le PCR. Daniel Alamélou est parti sans étiquette à ces Municipales partielles. Gironcel a un discours politique. Alamélou est un homme de dossier. Un technicien. Et c'est très perceptible dans les rencontres avec la population. C'est sans doute à ce niveau que se fera la différence.
Samedi, Maurice Gironcel s'est situé dans la ligne politique du PCR/Alliance. Tout comme l'a fait Elie Hoarau, secrétaire général du PCR. Les orateurs communistes qui se sont succédés au micro, ont dénoncé tout ce qui ne va pas, et ont pointé du doigt les auteurs de l'actuelle crise sociale : l'Etat, la Région, la Droite, les gros patrons… Et pour lier Daniel Alamélou à ce camp des nantis, Maurice Gironcel a eu cette phrase ironique : "Je ne fais pas campagne en chemise, pantalon et chaussures de marque".
"A 500 m de là à vol d'oiseau", un grand brun, chemise rouge (?), chaussures, pantalon, et veste cuir noirs, rappelait que "le 29 janvier, ce ne sont pas les Municipales partielles du Port, de La Possession ou de Saint-Louis", mais celles de Sainte-Suzanne". Histoire de dire que Maurice Gironcel n'est pas capable de mener seul sa campagne, et qu'une bonne partie du public présent venait d'autres communes.
Quand Maurice Gironcel parle de "la parole donnée et qui n'a pas été respectée", Daniel Alamélou répond : "Nous avons été élus pour quatre. Pourquoi n'a-t-il voulu attendre les deux ans qui restent. Et, puis la mairie appartient au peuple, pas à un homme, ni à un parti politique…"
La campagne est bien parti. Et la confrontation entre Maurice Gironcel et Daniel Alamélou, le père spirituel et son fils prodige, en sera sans conteste le fil rouge (sans aucun jeu de mot. Vous ne croyez pas. Je vous assure. Vous avez ma parole).