
"Comme toujours dans ces périodes, une dictature veut imposer sa conception de la vie, imposer un modèle de rapports économiques et sociaux, imposer un type de culture et imposer une soumission diplomatique et militaire, qui révulsent au plus profond d'eux-mêmes une grande majorité des Français.
Aussi incroyable que cela puisse paraître à ceux qui sont encore sous l'influence de la propagande, cette dictature de plus en plus implacable, destructrice, guerrière et prédatrice est l'oeuvre de la "construction européenne" elle-même. C'est-à-dire que la cause première de nos malheurs vient de cette structure que les forces euro-atlantistes ont pourtant présentée aux Français, depuis des décennies, comme la clé
de la modernité, de la paix et du bonheur.
C'est la raison pour laquelle la crise multiforme que nous traversons trouve son origine dans une crise morale d'une gravité historique : les Français ont le sentiment qu'on leur a volé la France ; mais des décennies de propagande empêchent encore un grand nombre d'entre eux de comprendre qui est le voleur.
L'élection présidentielle constitue l'élection décisive pour notre avenir collectif. Elle doit être l'occasion, pour le peuple français, de débattre de l'avenir de la France et d'aller au fond des choses.
Pour François Asselineau et pour le mouvement politique en plein essor qu'il a fondé le 25 mars 2007 - l'Union Populaire Républicaine -, aller au fond des choses, c'est expliquer aux Français ce qu'est la prétendue « construction européenne », quel est son vrai bilan et quels sont ses projets néfastes à venir.
Aller au fond des choses, c'est en conclure à l'impératif de rassembler les Français en urgence, pour faire sortir notre pays de l'Union européenne qui le conduit à sa perte, et cela par la voie juridique et sereine de l'article 50 du traité sur l'Union européenne.
La dernière période de notre histoire où la France a couru ce même risque mortel, celui de disparaître, fut celle de l'Occupation allemande. Même si les circonstances et les protagonistes sont évidemment bien différents de ceux des années 40, il est néanmoins logique que le mouvement de libération nationale qu'est l'UPR s'inspire
étroitement des forces salvatrices qui conduisirent à l'époque à la victoire de la France et à notre Libération.
Or, si la France a pu retrouver rapidement sa liberté et son indépendance en 1944, c'est parce que cela fut rendu possible par l’union provisoire des Français de toutes les origines et de toutes les opinions politiques qui voulaient que "vive la France".
Aussi incroyable que cela puisse paraître à ceux qui sont encore sous l'influence de la propagande, cette dictature de plus en plus implacable, destructrice, guerrière et prédatrice est l'oeuvre de la "construction européenne" elle-même. C'est-à-dire que la cause première de nos malheurs vient de cette structure que les forces euro-atlantistes ont pourtant présentée aux Français, depuis des décennies, comme la clé
de la modernité, de la paix et du bonheur.
C'est la raison pour laquelle la crise multiforme que nous traversons trouve son origine dans une crise morale d'une gravité historique : les Français ont le sentiment qu'on leur a volé la France ; mais des décennies de propagande empêchent encore un grand nombre d'entre eux de comprendre qui est le voleur.
L'élection présidentielle constitue l'élection décisive pour notre avenir collectif. Elle doit être l'occasion, pour le peuple français, de débattre de l'avenir de la France et d'aller au fond des choses.
Pour François Asselineau et pour le mouvement politique en plein essor qu'il a fondé le 25 mars 2007 - l'Union Populaire Républicaine -, aller au fond des choses, c'est expliquer aux Français ce qu'est la prétendue « construction européenne », quel est son vrai bilan et quels sont ses projets néfastes à venir.
Aller au fond des choses, c'est en conclure à l'impératif de rassembler les Français en urgence, pour faire sortir notre pays de l'Union européenne qui le conduit à sa perte, et cela par la voie juridique et sereine de l'article 50 du traité sur l'Union européenne.
La dernière période de notre histoire où la France a couru ce même risque mortel, celui de disparaître, fut celle de l'Occupation allemande. Même si les circonstances et les protagonistes sont évidemment bien différents de ceux des années 40, il est néanmoins logique que le mouvement de libération nationale qu'est l'UPR s'inspire
étroitement des forces salvatrices qui conduisirent à l'époque à la victoire de la France et à notre Libération.
Or, si la France a pu retrouver rapidement sa liberté et son indépendance en 1944, c'est parce que cela fut rendu possible par l’union provisoire des Français de toutes les origines et de toutes les opinions politiques qui voulaient que "vive la France".