
Toute personne âgée, demandeur d’une allocation personnalisée d’autonomie est ainsi évaluée par des équipes médico-sociales qui la classent dans l’un des six groupes homogènes en termes de ressources employées et de coûts (groupes iso-ressources dits GIR).
- Le GIR 1 comprend les personnes âgées confinées au lit ou au fauteuil, dont les fonctions mentales sont gravement altérées et qui nécessitent une présence indispensable et continue d'intervenants.
- Le GIR 2 concerne les personnes âgées confinées au lit ou au fauteuil, dont les fonctions mentales ne sont pas totalement altérées et dont l'état exige une aide pour la plupart des activités de la vie courante. Il regroupe aussi les personnes âgées dont les fonctions mentales sont altérées, mais qui ont conservé leurs capacités à se déplacer.
- Le GIR 3 réunit les personnes âgées ayant conservé leur autonomie mentale, partiellement leur autonomie locomotrice, mais qui ont besoin plusieurs fois quotidiennement d'être aidées pour leur autonomie corporelle.
- Le GIR 4 intègre les personnes âgées n'assumant pas seules leurs transferts mais qui, une fois levées, peuvent se déplacer à l'intérieur de leur logement. Elles doivent parfois être aidées pour la toilette et l'habillage. Il s'adresse également aux personnes âgées n'ayant pas de problèmes locomoteurs mais devant être aidées pour les activités corporelles et pour les repas.
- Le GIR 5 comporte des personnes âgées ayant seulement besoin d'une aide ponctuelle pour la toilette, la préparation des repas et le ménage.
- Le GIR 6 réunit les personnes âgées n'ayant pas perdu leur autonomie pour les actes essentiels de la vie courante.
Cette évaluation est importante pour l’attribution d’une allocation et de son montant. Selon les ressources, le montant plafond de l’allocation mensuelle potentielle attribuée est fixé, au 1er avril 2010, à :
- 1 235,65 euros pour les personnes relevant du GIR 1 ;
- 1 059,13 euros pour celles du GIR 2 ;
- 794,35 euros pour celles du GIR 3 ;
- 529,56 euros pour celles du GIR 4.
Lorsque la personne est classée en GIR 5 ou 6, elle peut prétendre, en fonction de ses ressources, au versement des prestations d’aide ménagère servies par son régime de retraite ou par l’aide sociale départementale.
- Le GIR 1 comprend les personnes âgées confinées au lit ou au fauteuil, dont les fonctions mentales sont gravement altérées et qui nécessitent une présence indispensable et continue d'intervenants.
- Le GIR 2 concerne les personnes âgées confinées au lit ou au fauteuil, dont les fonctions mentales ne sont pas totalement altérées et dont l'état exige une aide pour la plupart des activités de la vie courante. Il regroupe aussi les personnes âgées dont les fonctions mentales sont altérées, mais qui ont conservé leurs capacités à se déplacer.
- Le GIR 3 réunit les personnes âgées ayant conservé leur autonomie mentale, partiellement leur autonomie locomotrice, mais qui ont besoin plusieurs fois quotidiennement d'être aidées pour leur autonomie corporelle.
- Le GIR 4 intègre les personnes âgées n'assumant pas seules leurs transferts mais qui, une fois levées, peuvent se déplacer à l'intérieur de leur logement. Elles doivent parfois être aidées pour la toilette et l'habillage. Il s'adresse également aux personnes âgées n'ayant pas de problèmes locomoteurs mais devant être aidées pour les activités corporelles et pour les repas.
- Le GIR 5 comporte des personnes âgées ayant seulement besoin d'une aide ponctuelle pour la toilette, la préparation des repas et le ménage.
- Le GIR 6 réunit les personnes âgées n'ayant pas perdu leur autonomie pour les actes essentiels de la vie courante.
Cette évaluation est importante pour l’attribution d’une allocation et de son montant. Selon les ressources, le montant plafond de l’allocation mensuelle potentielle attribuée est fixé, au 1er avril 2010, à :
- 1 235,65 euros pour les personnes relevant du GIR 1 ;
- 1 059,13 euros pour celles du GIR 2 ;
- 794,35 euros pour celles du GIR 3 ;
- 529,56 euros pour celles du GIR 4.
Lorsque la personne est classée en GIR 5 ou 6, elle peut prétendre, en fonction de ses ressources, au versement des prestations d’aide ménagère servies par son régime de retraite ou par l’aide sociale départementale.