La polémique n'aura duré que quelques jours, le temps pour les deux élus de se rencontrer, et de poser la base d'un désistement républicain "cohérent et satisfaisant pour tout le monde". Jean-Claude Fruteau a posé la base de cet accord, la semaine dernière lors de sa conférence de presse à Saint-Benoît. "Si je suis en deuxième position et qu'un autre candidat de la majorité présidentielle est devant, je me retirai sans condition".
"Il est essentiel de donner une majorité de députés à François Hollande pour qu'il puisse mettre en œuvre son programme. Aussi, je ferai tout pour faire gagner un parlementaire de Gauche". Lundi dernier, lors de sa rencontre avec la presse, Eric Fruteau qui avait dit qu'il ne désisterait pas s'il était deuxième, avait modifié sa position initiale : "Mon retrait sera immédiat si je suis troisième".
Les deux Fruteau se sont rencontrés cette semaine. Et à voir la complicité qu'ils ont montrée lors de l'inauguration de la fête des chouchoux hier, c'est désormais l'entente cordiale entre les deux concurrents. La campagne électorale va aussi gagner en intensité. Sur le terrain, le rythme des réunions et des meetings s'accélèrent. "On jouera le coup jusqu'au bout. "Ils feront les comptes après.
"Il est essentiel de donner une majorité de députés à François Hollande pour qu'il puisse mettre en œuvre son programme. Aussi, je ferai tout pour faire gagner un parlementaire de Gauche". Lundi dernier, lors de sa rencontre avec la presse, Eric Fruteau qui avait dit qu'il ne désisterait pas s'il était deuxième, avait modifié sa position initiale : "Mon retrait sera immédiat si je suis troisième".
Les deux Fruteau se sont rencontrés cette semaine. Et à voir la complicité qu'ils ont montrée lors de l'inauguration de la fête des chouchoux hier, c'est désormais l'entente cordiale entre les deux concurrents. La campagne électorale va aussi gagner en intensité. Sur le terrain, le rythme des réunions et des meetings s'accélèrent. "On jouera le coup jusqu'au bout. "Ils feront les comptes après.