Je n’en reviens pas, Célimène, depuis le vingt-trois,
Je ne dors plus, et je me demande si je ne rêve pas.
Donne moi ta main mon Caliméro, prend la mienne.
Saches que la cloche a enfin sonné, le cirque est fini.
Perrin m’attend. Et toi, Patu .Et quoi qu’il advienne,
Les urnes ont parlé, et le petit peuple nous a punis.
Donne moi ta main mon Caliméro, prend la mienne.
Saches que la cloche a enfin sonné, le cirque est fini.
Perrin m’attend. Et toi, Patu .Et quoi qu’il advienne,
Les urnes ont parlé, et le petit peuple nous a punis.
Nous irons danser Célimène, dès samedi peut-être,
Pour oublier cette humiliation, et cette ignominie.
Car, je ne veux plus rien penser, j’en perds la tête.
Et maudits soient cette mairie, ce peuple d’abrutis.
De nous, Célimène, dans cette ville, ils sont jaloux,
Nous voir ensemble, plus forts, les rend tous fous !
Pour oublier cette humiliation, et cette ignominie.
Car, je ne veux plus rien penser, j’en perds la tête.
Et maudits soient cette mairie, ce peuple d’abrutis.
De nous, Célimène, dans cette ville, ils sont jaloux,
Nous voir ensemble, plus forts, les rend tous fous !
Mon Caliméro, demain matin, devant un café crème,
Nous causerons .Il y a notre SCI et la familiocratie ,
Puis notre villa de guignes, et son portail avec chaine .
Et avec Marceline, nous chanterons : C C C C’est fini !
Ensemble et toujours plus forts, C C C C’est bien fini !
Caliméro, mon chéri, qu’en dis-tu ? C pas belle la vie ?
Nous causerons .Il y a notre SCI et la familiocratie ,
Puis notre villa de guignes, et son portail avec chaine .
Et avec Marceline, nous chanterons : C C C C’est fini !
Ensemble et toujours plus forts, C C C C’est bien fini !
Caliméro, mon chéri, qu’en dis-tu ? C pas belle la vie ?
Saint-André