
"Qu'est-ce qu'il ne faut entendre, le PCR serait contre la pauvreté, alos que la pauvreté et la misère sont ses deux mamelles lors des élections (Ste Suzanne exemple type) - qui lui permettent d'accompagner le système et de s"enrichir sur le dos des misérables qu'il exploite, dizon lo pcr lé konm krapate dosi tété bèf.
Rappelons nous que lors des revendications du Cospar, alors qu'aux Antilles, pour calmer la révolte, il était convenu que les Collectivités devaient rajouter, chacune 50 euros pour permettre aux travailleurs d'avoir 200 € de plus sur leur salaire.
A la Réunion, le président du Conseil régional de l'époque - qui n'était autre que le sieur Vergès Paul - a refusé catégoriquement de mettre les 50 € convenus aux Antilles sous le prétexte que la Région n'était pas un DAB, zot i koné lé gisé otomatik devan lé bank, ousa i ginye tire larzan san rante dann biro.
Du coup, le Conseil Général avec sa présidente "humaine" konm èl i la di dovan l'Arast, n'a rien mis dans la cagnote, et les travailleurs ont dû se contenter que de la part patronale, soit de 50€. Les 200 € que propose le PCR ne viendraient pas de sa riche organisation, mais il compte sur les aides de l'Etat, c'est-à-dire nos impôts.
En quelque sorte, il accompagnerait encore une fois de plus la politique du gouvernement pendant quatre mois, uniquement pour acheter la paix sociale. En attendant que passe les élections, avec l'espoir de faire élire ses hommes de paille, en éliminant Huguette Bellot de la deuxième circonscription, et cela, ne pourrait se faire que dans un climat social apaisé qu’il souhaite".
Rappelons nous que lors des revendications du Cospar, alors qu'aux Antilles, pour calmer la révolte, il était convenu que les Collectivités devaient rajouter, chacune 50 euros pour permettre aux travailleurs d'avoir 200 € de plus sur leur salaire.
A la Réunion, le président du Conseil régional de l'époque - qui n'était autre que le sieur Vergès Paul - a refusé catégoriquement de mettre les 50 € convenus aux Antilles sous le prétexte que la Région n'était pas un DAB, zot i koné lé gisé otomatik devan lé bank, ousa i ginye tire larzan san rante dann biro.
Du coup, le Conseil Général avec sa présidente "humaine" konm èl i la di dovan l'Arast, n'a rien mis dans la cagnote, et les travailleurs ont dû se contenter que de la part patronale, soit de 50€. Les 200 € que propose le PCR ne viendraient pas de sa riche organisation, mais il compte sur les aides de l'Etat, c'est-à-dire nos impôts.
En quelque sorte, il accompagnerait encore une fois de plus la politique du gouvernement pendant quatre mois, uniquement pour acheter la paix sociale. En attendant que passe les élections, avec l'espoir de faire élire ses hommes de paille, en éliminant Huguette Bellot de la deuxième circonscription, et cela, ne pourrait se faire que dans un climat social apaisé qu’il souhaite".