Il demande par ailleurs à ce que l’Etat attribue un volume de contrats aidés supplémentaires, au moins équivalent à celui du dispositif de lutte contre le chikungunya en 2006. En plus de ces contrats spécialement dédiés à la lutte anti- vectorielle, il sollicite la mobilisation des contrats du service civique pour sensibiliser en porte à porte les familles, sur les gestes à réaliser pour éliminer les gîtes larvaires.
Selon M. Virapoullé, « compte tenu du contexte financier particulièrement contraignant au niveau des collectivités, nous demandons une totale prise en charge financière par l’Etat du quota de contrats aidés supplémentaires prévus pour la lutte anti-vectorielle ».
Dans la matinée, lors de la réunion de la Commission permanente de ce 4 mai, au Palais de la Source, M. Virapoullé a soulevé la question. Le 15 mars, il a fait voter une motion demandant à l’Etat d’amplifier le plan d’action d’urgence contre le zika à travers la mise en place d’un plan de lutte contre le virus intégrant les volets éradication des vecteurs et plan de démoustication. Face à la menace de la dengue, il propose aujourd’hui « d’amplifier ces procédures d’urgence ».
Selon M. Virapoullé, « compte tenu du contexte financier particulièrement contraignant au niveau des collectivités, nous demandons une totale prise en charge financière par l’Etat du quota de contrats aidés supplémentaires prévus pour la lutte anti-vectorielle ».
Dans la matinée, lors de la réunion de la Commission permanente de ce 4 mai, au Palais de la Source, M. Virapoullé a soulevé la question. Le 15 mars, il a fait voter une motion demandant à l’Etat d’amplifier le plan d’action d’urgence contre le zika à travers la mise en place d’un plan de lutte contre le virus intégrant les volets éradication des vecteurs et plan de démoustication. Face à la menace de la dengue, il propose aujourd’hui « d’amplifier ces procédures d’urgence ».