Le PCR tient également à saluer la mémoire du grand dirigeant qui a su résister idéologiquement, économiquement et sociétalement, pendant plus de 50 ans, à la plus grande puissance mondiale, les États Unis d’Amérique. Durant cette période difficile, Fidel Castro aura également guidé son peuple vers un développement harmonieux de leur pays ; à qui on attribut aujourd’hui la mesure d’un des Indices de Développement Humain (IDH) les plus élevés de la planète !
Le PCR veut se souvenir que la politique menée par Fidel Castro aura permis, en matière d’éducation l’éradication de l’illettrisme (grâce à un programme dont nous serions bien inspirés de mettre en œuvre à La Réunion), en matière de santé les meilleurs programmes anti-diabète, en matière de culture, de sport et de solidarité d’élever la présence cubaine au plus haut niveau international.
L’histoire retiendra que malgré leur situation défavorable, les Cubains n’auront jamais hésité à apporter un soutien indéfectible à l’ANC et à l’Angola pour combattre le régime raciste de l’apartheid Sud-Africain ; Cuba aura reçu des étudiants du monde entier pour partager la richesse de ses savoirs développés sous la contrainte de l’embargo ; et, enfin, la Communauté Internationale aura été subjuguée par l’effort exceptionnel que les médecins cubains auront accompli en constituant le plus important contingent professionnel ayant permis l’éradication du virus Ébola, au moment le plus critique de l’épidémie en Afrique.
Pour Fidel Castro, la dignité et la souveraineté du pays ne se négociaient pas. Et dans le cadre du conflit qui l’opposait à son voisin hégémonique, la constance et la justesse de sa position l’aura finalement remporté : à la veille de sa disparition, le « Commandant en Chef » aura eu la satisfaction de voir la totalité des membres de l’ONU approuver la demande par Cuba la levée du blocus imposé par les États Unis d’Amérique. Même ces derniers, en ne s’y opposant pas, reconnaissaient là la victoire politique suprême de la Révolution Cubaine !
Le PCR veut se souvenir que la politique menée par Fidel Castro aura permis, en matière d’éducation l’éradication de l’illettrisme (grâce à un programme dont nous serions bien inspirés de mettre en œuvre à La Réunion), en matière de santé les meilleurs programmes anti-diabète, en matière de culture, de sport et de solidarité d’élever la présence cubaine au plus haut niveau international.
L’histoire retiendra que malgré leur situation défavorable, les Cubains n’auront jamais hésité à apporter un soutien indéfectible à l’ANC et à l’Angola pour combattre le régime raciste de l’apartheid Sud-Africain ; Cuba aura reçu des étudiants du monde entier pour partager la richesse de ses savoirs développés sous la contrainte de l’embargo ; et, enfin, la Communauté Internationale aura été subjuguée par l’effort exceptionnel que les médecins cubains auront accompli en constituant le plus important contingent professionnel ayant permis l’éradication du virus Ébola, au moment le plus critique de l’épidémie en Afrique.
Pour Fidel Castro, la dignité et la souveraineté du pays ne se négociaient pas. Et dans le cadre du conflit qui l’opposait à son voisin hégémonique, la constance et la justesse de sa position l’aura finalement remporté : à la veille de sa disparition, le « Commandant en Chef » aura eu la satisfaction de voir la totalité des membres de l’ONU approuver la demande par Cuba la levée du blocus imposé par les États Unis d’Amérique. Même ces derniers, en ne s’y opposant pas, reconnaissaient là la victoire politique suprême de la Révolution Cubaine !