La télévision… Oui, la télévision !
Elle a été l’un des principaux moteurs du déclin intellectuel du peuple réunionnais.
Elle nous a bercés, endormis, séduits par des images venues d’ailleurs,
jusqu’à ce que nous perdions le goût de penser par nous-mêmes.
Ce n’est pas seulement un écran, non.
C’est une école parallèle,
c'est une école de la distraction, de la dépendance,
une école où l’on apprend à consommer au lieu de réfléchir,
à admirer au lieu de comprendre,
à répéter au lieu de créer.
Et le résultat, nous le voyons aujourd’hui.
Regardons nos “penseurs”, regardons nos “politiciens”.
Des hommes et des femmes qui ont grandi dans cette culture de façade,
qui confondent notoriété et intelligence,
qui se croient bâtisseurs alors qu’ils ne sont que gestionnaires du vide.
Comment un homme, qui toute sa vie a profité du système,
qui a été socialiste-profiteur contre nation, contre son propre peuple,
peut-il aujourd’hui prétendre orienter notre avenir ?
Comment oser parler de vision,
quand on a passé sa vie à défendre sa position ?
Et comment expliquer qu’en 2025,
les plus grandes collectivités de notre île
soient dirigées par des gens sans rêve, sans cap, sans souffle ?
Des techniciens du pouvoir, des administrateurs du quotidien,
mais pas des porteurs de sens, pas des éveilleurs d’esprit.
Pendant ce temps, les nouvelles technologies ont pris le relais.
Elles ont élargi nos possibilités de divertissement,
elles ont perfectionné la machine à distraire.
Aujourd’hui, tout est à portée de clic :
l’amusement, la polémique, la futilité.
Mais où est passée la conscience ?
Où est passée la pensée ?
Où est passée la Réunion qui réfléchit, qui débat, qui ose ?
Nous sommes connectés, oui, mais à quoi ?
À des flux, à des modes, à des illusions.
Nous parlons plus, mais nous échangeons moins.
Nous voyons tout, mais nous ne regardons plus rien.
Elle nous a bercés, endormis, séduits par des images venues d’ailleurs,
jusqu’à ce que nous perdions le goût de penser par nous-mêmes.
Ce n’est pas seulement un écran, non.
C’est une école parallèle,
c'est une école de la distraction, de la dépendance,
une école où l’on apprend à consommer au lieu de réfléchir,
à admirer au lieu de comprendre,
à répéter au lieu de créer.
Et le résultat, nous le voyons aujourd’hui.
Regardons nos “penseurs”, regardons nos “politiciens”.
Des hommes et des femmes qui ont grandi dans cette culture de façade,
qui confondent notoriété et intelligence,
qui se croient bâtisseurs alors qu’ils ne sont que gestionnaires du vide.
Comment un homme, qui toute sa vie a profité du système,
qui a été socialiste-profiteur contre nation, contre son propre peuple,
peut-il aujourd’hui prétendre orienter notre avenir ?
Comment oser parler de vision,
quand on a passé sa vie à défendre sa position ?
Et comment expliquer qu’en 2025,
les plus grandes collectivités de notre île
soient dirigées par des gens sans rêve, sans cap, sans souffle ?
Des techniciens du pouvoir, des administrateurs du quotidien,
mais pas des porteurs de sens, pas des éveilleurs d’esprit.
Pendant ce temps, les nouvelles technologies ont pris le relais.
Elles ont élargi nos possibilités de divertissement,
elles ont perfectionné la machine à distraire.
Aujourd’hui, tout est à portée de clic :
l’amusement, la polémique, la futilité.
Mais où est passée la conscience ?
Où est passée la pensée ?
Où est passée la Réunion qui réfléchit, qui débat, qui ose ?
Nous sommes connectés, oui, mais à quoi ?
À des flux, à des modes, à des illusions.
Nous parlons plus, mais nous échangeons moins.
Nous voyons tout, mais nous ne regardons plus rien.













