Un appel au rassemblement transpartisan
Jean-Jacques Morel insiste d’emblée sur un message central : l’union. Selon lui, le temps est venu de dépasser les appartenances traditionnelles – gauche, droite ou centre – pour se concentrer sur l’objectif commun de faire avancer Saint-Denis.
Il cite l’exemple de militants ou sympathisants venus “d’horizons différents”, preuve selon lui qu’un mouvement plus large prend forme :
des élus de communes voisines,
des soutiens extérieurs au mouvement,
des personnalités issues autant de la droite que de la gauche.
Cette transversalité serait, selon Jean Jacques Morel, l’une des forces majeures de la candidature de Jean-Max Nativel.
Il cite l’exemple de militants ou sympathisants venus “d’horizons différents”, preuve selon lui qu’un mouvement plus large prend forme :
des élus de communes voisines,
des soutiens extérieurs au mouvement,
des personnalités issues autant de la droite que de la gauche.
Cette transversalité serait, selon Jean Jacques Morel, l’une des forces majeures de la candidature de Jean-Max Nativel.
Saint-Denis, de « belle endormie » à ville en quête de renouveau
Au cœur de son discours, Morel dresse un constat sans détour :
Saint-Denis serait paralysée après presque 20 ans sous la même équipe municipale.
Il admet que “tout n’est pas mauvais”, mais pointe de graves carences :
absence de dynamisme économique,
stagnation des grands projets,
gaspillage des fonds publics (il cite le dossier du Pôle Océan, “depuis 20 ans un désert”),
dégradation de certains quartiers et du front de mer,
insécurité persistante,
difficulté des familles face au coût de la vie et à la pauvreté.
Selon lui, “il y a quelque chose à faire au bas de la rivière comme sur le front de mer”, dénonçant un potentiel laissé en friche.
Saint-Denis serait paralysée après presque 20 ans sous la même équipe municipale.
Il admet que “tout n’est pas mauvais”, mais pointe de graves carences :
absence de dynamisme économique,
stagnation des grands projets,
gaspillage des fonds publics (il cite le dossier du Pôle Océan, “depuis 20 ans un désert”),
dégradation de certains quartiers et du front de mer,
insécurité persistante,
difficulté des familles face au coût de la vie et à la pauvreté.
Selon lui, “il y a quelque chose à faire au bas de la rivière comme sur le front de mer”, dénonçant un potentiel laissé en friche.
Pourquoi Jean-Max Nativel ?
Jrean Jacques Morel présente le candidat comme :
expérimenté,
doté d’une solide culture politique,
capable de faire preuve d’humour,
marqué par un parcours de combattant syndical (notamment à la CFDT),
et surtout comme un rassembleur naturel.
Il insiste sur son héritage politique :
Ancien adjoint, ancien vice-président du conseil général, acteur des basculements politiques importants de 1998, Nativel a été selon Morel “au cœur des grandes évolutions” institutionnelles de La Réunion.
Pour Jean Jacques Morel, cette expérience fait de lui l’homme capable de “remettre Saint-Denis en route” pour en faire une ville :
attractive économiquement,
créatrice d’emplois,
structurée autour d’un projet global tourné vers les familles réunionnaises.
Un mouvement régional qui se structure
Jean Jacques Morel situe la candidature de Nativel dans un contexte plus large :
La montée en puissance d’un mouvement politique structuré dans plusieurs communes — Sainte-Marie, Saint-Pierre, Saint-Paul, Petite-Île, et d’autres.
La stratégie évoquée consiste à :
renforcer le poids des maires,
s’appuyer sur les leviers municipaux pour agir directement sur la vie quotidienne,
préparer un basculement politique à l’échelle régionale.
“Les maires ont un pouvoir important, avec de gros budgets”, rappelle-t-il, laissant entendre qu’une nouvelle carte politique pourrait émerger si les communes-clés se rassemblent vers une ligne commune.
expérimenté,
doté d’une solide culture politique,
capable de faire preuve d’humour,
marqué par un parcours de combattant syndical (notamment à la CFDT),
et surtout comme un rassembleur naturel.
Il insiste sur son héritage politique :
Ancien adjoint, ancien vice-président du conseil général, acteur des basculements politiques importants de 1998, Nativel a été selon Morel “au cœur des grandes évolutions” institutionnelles de La Réunion.
Pour Jean Jacques Morel, cette expérience fait de lui l’homme capable de “remettre Saint-Denis en route” pour en faire une ville :
attractive économiquement,
créatrice d’emplois,
structurée autour d’un projet global tourné vers les familles réunionnaises.
Un mouvement régional qui se structure
Jean Jacques Morel situe la candidature de Nativel dans un contexte plus large :
La montée en puissance d’un mouvement politique structuré dans plusieurs communes — Sainte-Marie, Saint-Pierre, Saint-Paul, Petite-Île, et d’autres.
La stratégie évoquée consiste à :
renforcer le poids des maires,
s’appuyer sur les leviers municipaux pour agir directement sur la vie quotidienne,
préparer un basculement politique à l’échelle régionale.
“Les maires ont un pouvoir important, avec de gros budgets”, rappelle-t-il, laissant entendre qu’une nouvelle carte politique pourrait émerger si les communes-clés se rassemblent vers une ligne commune.
Baisse du coût de la vie, sécurité, pouvoir d’achat : les priorités affichées
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Parmi les thématiques avancées, Morel met l’accent sur :
la suppression de l’octroi de mer pour réduire le coût de la vie,
la lutte contre l’insécurité et l’amélioration de la tranquillité publique,
la réponse urgente aux enjeux de pauvreté qui touchent “y compris les familles moyennes”.
Il situe ces propositions comme des “grandes thématiques pour faire une Réunion nouvelle”.
Une détermination affichée
En concluant son allocution, Jean Jacques Morel adopte un ton combatif :
Il dénonce les critiques ciblant son mouvement comme des “fables” et appelle les militants à rester unis. Sa conviction affichée :
“Ils n’y arriveront pas, parce que notre détermination est totale.”
Selon lui, l’objectif est clair :
Travailler ensemble pour faire avancer Saint-Denis et, plus largement, “faire reculer la misère” sur toute l’île.
À travers ce discours, Jean-Jacques Morel pose les bases d’une campagne qui veut se distinguer par :
une offre politique transpartisane,
une volonté de rupture avec 20 ans de gouvernance,
la mise en avant d’un candidat expérimenté et rassembleur,
un programme axé sur le pouvoir d’achat, la sécurité et la revitalisation économique.
La candidature de Jean-Max Nativel est ainsi présentée comme le point de départ d’un renouveau politique à Saint-Denis, à un moment où de nombreux électeurs semblent en quête d’une alternative structurante pour leur commune.
la suppression de l’octroi de mer pour réduire le coût de la vie,
la lutte contre l’insécurité et l’amélioration de la tranquillité publique,
la réponse urgente aux enjeux de pauvreté qui touchent “y compris les familles moyennes”.
Il situe ces propositions comme des “grandes thématiques pour faire une Réunion nouvelle”.
Une détermination affichée
En concluant son allocution, Jean Jacques Morel adopte un ton combatif :
Il dénonce les critiques ciblant son mouvement comme des “fables” et appelle les militants à rester unis. Sa conviction affichée :
“Ils n’y arriveront pas, parce que notre détermination est totale.”
Selon lui, l’objectif est clair :
Travailler ensemble pour faire avancer Saint-Denis et, plus largement, “faire reculer la misère” sur toute l’île.
À travers ce discours, Jean-Jacques Morel pose les bases d’une campagne qui veut se distinguer par :
une offre politique transpartisane,
une volonté de rupture avec 20 ans de gouvernance,
la mise en avant d’un candidat expérimenté et rassembleur,
un programme axé sur le pouvoir d’achat, la sécurité et la revitalisation économique.
La candidature de Jean-Max Nativel est ainsi présentée comme le point de départ d’un renouveau politique à Saint-Denis, à un moment où de nombreux électeurs semblent en quête d’une alternative structurante pour leur commune.