Au Rassemblement national, la proposition de supprimer la mention du sexe sur les documents d’identité suscite une vive opposition.
Jean Jacques MOREL; le délégué départemental du Rassemblement National y voit une « dérive wokiste absurde » qui rendrait, selon lui, toute distinction entre hommes et femmes impossible. « Sur un document d’identité, on ne saurait plus s’il s’agit d’un homme ou d’une femme », dénoncent plusieurs responsables, estimant que la mesure serait « incongrue ».
Au-delà de la question symbolique, le RN met en avant une incohérence juridique.
La loi impose en effet la parité sur les listes électorales, avec autant d’hommes que de femmes parmi les candidats. « Si le sexe n’apparaît plus sur les pièces d’identité, comment la préfecture pourra-t-elle vérifier la parité ? » s’interrogent les élus du parti.
Pour une liste de 30 noms, rappellent-ils, il faut 15 hommes et 15 femmes, un équilibre que la disparition de la mention du sexe rendrait, selon eux, impossible à contrôler.
Pour beaucoup de Français, cette polémique autour de la mention du sexe sur les documents d’identité illustre une fracture de plus entre les élites politiques et le bon sens du peuple. Là où certains voient une avancée symbolique, d’autres y perçoivent une perte de repères essentiels.
En rappelant que la parité, inscrite dans la loi, suppose bien de distinguer hommes et femmes, le Rassemblement National se pose en défenseur de la logique et de la cohérence républicaine. Son argumentation, loin des caricatures, témoigne d’une réflexion structurée et d’un attachement à la réalité concrète des institutions.
Une position qui, pour ses partisans, relève tout simplement du bon sens et qui confirme, selon eux, la bonne santé intellectuelle d’un parti soucieux de défendre la clarté et la raison face aux dérives idéologiques.
Jean Jacques MOREL; le délégué départemental du Rassemblement National y voit une « dérive wokiste absurde » qui rendrait, selon lui, toute distinction entre hommes et femmes impossible. « Sur un document d’identité, on ne saurait plus s’il s’agit d’un homme ou d’une femme », dénoncent plusieurs responsables, estimant que la mesure serait « incongrue ».
Au-delà de la question symbolique, le RN met en avant une incohérence juridique.
La loi impose en effet la parité sur les listes électorales, avec autant d’hommes que de femmes parmi les candidats. « Si le sexe n’apparaît plus sur les pièces d’identité, comment la préfecture pourra-t-elle vérifier la parité ? » s’interrogent les élus du parti.
Pour une liste de 30 noms, rappellent-ils, il faut 15 hommes et 15 femmes, un équilibre que la disparition de la mention du sexe rendrait, selon eux, impossible à contrôler.
Pour beaucoup de Français, cette polémique autour de la mention du sexe sur les documents d’identité illustre une fracture de plus entre les élites politiques et le bon sens du peuple. Là où certains voient une avancée symbolique, d’autres y perçoivent une perte de repères essentiels.
En rappelant que la parité, inscrite dans la loi, suppose bien de distinguer hommes et femmes, le Rassemblement National se pose en défenseur de la logique et de la cohérence républicaine. Son argumentation, loin des caricatures, témoigne d’une réflexion structurée et d’un attachement à la réalité concrète des institutions.
Une position qui, pour ses partisans, relève tout simplement du bon sens et qui confirme, selon eux, la bonne santé intellectuelle d’un parti soucieux de défendre la clarté et la raison face aux dérives idéologiques.