Georges Mithra, militant dyonisien
Originaire de la capitale réunionnaise, ce Dionysien dit ne plus comprendre les choix de l’équipe municipale en place. Selon lui, les responsables privilégient des entreprises venues d’autres communes, au détriment des acteurs économiques locaux :
« Madame la maire aujourd'hui donne priorité aux entreprises qui vient d'ailleurs et les entreprises de la ville-Saint-Denis n'ont pas la priorité. », affirme-t-il.
Pour Georges, ce sentiment d’abandon a pesé lourd dans sa décision politique. Il estime que le RN porte un discours plus ferme sur la défense des territoires et des habitants, y compris à La Réunion.
« On nous dit toujours qu’il faut être solidaires, mais à force, ce sont les Réunionnais qui trinquent. Moi, je veux un vrai changement », ajoute-t-il.
À travers ce témoignage, Georges incarne une partie de l’électorat réunionnais qui, lassé des politiques locales traditionnelles, se tourne vers une autre offre politique. Son propos reflète un malaise plus large autour du développement économique de Saint-Denis et de la place donnée, ou non, aux acteurs locaux.
« Madame la maire aujourd'hui donne priorité aux entreprises qui vient d'ailleurs et les entreprises de la ville-Saint-Denis n'ont pas la priorité. », affirme-t-il.
Pour Georges, ce sentiment d’abandon a pesé lourd dans sa décision politique. Il estime que le RN porte un discours plus ferme sur la défense des territoires et des habitants, y compris à La Réunion.
« On nous dit toujours qu’il faut être solidaires, mais à force, ce sont les Réunionnais qui trinquent. Moi, je veux un vrai changement », ajoute-t-il.
À travers ce témoignage, Georges incarne une partie de l’électorat réunionnais qui, lassé des politiques locales traditionnelles, se tourne vers une autre offre politique. Son propos reflète un malaise plus large autour du développement économique de Saint-Denis et de la place donnée, ou non, aux acteurs locaux.
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