Marronnage, mémoire et combat politique à La Réunion
Avant 1848 : le chemin tracé par les Marons
Bien avant les décrets, les Marrons avaient pris le risque ultime : fuir, résister, inventer la liberté hors du cadre imposé. Dans les hauteurs, les ravines, les forêts, ils ont tracé les premiers sentiers de l’émancipation, souvent au prix de leur vie. Leur geste n’était pas seulement une fuite, mais un acte politique avant l’heure : refuser l’inacceptable.
Et avant même le marronnage, c’est pour échapper à des entraves inavouables — déportation, esclavage, négation de l’humanité — qu’une communauté de destins s’est constituée à La Réunion. Une société forgée dans la contrainte, mais aussi dans la résistance, la solidarité et l’espoir.
La Fèt Kaf : mémoire vivante, liberté inachevée
Aujourd’hui, la Fèt Kaf n’est pas qu’une commémoration. Elle est une mémoire vivante, un rappel collectif que la liberté n’est jamais un acquis définitif. Elle nous dit que le chemin entamé par les Marrons, poursuivi en 1848, reste inachevé.
Car être libre ne se limite pas à un statut juridique. La liberté est aussi sociale, culturelle, économique, politique. Et sur ces terrains-là, le combat continue.
S’organiser pour arracher nos libertés
C’est pourquoi, ici comme partout en France, nous faisons le choix de l’organisation politique. Non par goût de la confrontation, mais par nécessité historique. La liberté ne se reçoit pas : elle s’arrache, collectivement.
Ce combat, nous le menons avec Marine, Jordan, Murielle, Jean-Max et avec nous toutes et tous.
Dans la continuité de celles et ceux qui, hier, ont refusé de plier. Dans la responsabilité de transmettre aux générations futures autre chose qu’un récit figé : une liberté vivante, en mouvement, à conquérir encore.
Bien avant les décrets, les Marrons avaient pris le risque ultime : fuir, résister, inventer la liberté hors du cadre imposé. Dans les hauteurs, les ravines, les forêts, ils ont tracé les premiers sentiers de l’émancipation, souvent au prix de leur vie. Leur geste n’était pas seulement une fuite, mais un acte politique avant l’heure : refuser l’inacceptable.
Et avant même le marronnage, c’est pour échapper à des entraves inavouables — déportation, esclavage, négation de l’humanité — qu’une communauté de destins s’est constituée à La Réunion. Une société forgée dans la contrainte, mais aussi dans la résistance, la solidarité et l’espoir.
La Fèt Kaf : mémoire vivante, liberté inachevée
Aujourd’hui, la Fèt Kaf n’est pas qu’une commémoration. Elle est une mémoire vivante, un rappel collectif que la liberté n’est jamais un acquis définitif. Elle nous dit que le chemin entamé par les Marrons, poursuivi en 1848, reste inachevé.
Car être libre ne se limite pas à un statut juridique. La liberté est aussi sociale, culturelle, économique, politique. Et sur ces terrains-là, le combat continue.
S’organiser pour arracher nos libertés
C’est pourquoi, ici comme partout en France, nous faisons le choix de l’organisation politique. Non par goût de la confrontation, mais par nécessité historique. La liberté ne se reçoit pas : elle s’arrache, collectivement.
Ce combat, nous le menons avec Marine, Jordan, Murielle, Jean-Max et avec nous toutes et tous.
Dans la continuité de celles et ceux qui, hier, ont refusé de plier. Dans la responsabilité de transmettre aux générations futures autre chose qu’un récit figé : une liberté vivante, en mouvement, à conquérir encore.
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