Constat. Trois membres du Comité central du PCR, conduiront une liste aux Municipales partielles de Sainte-Suzanne. C'est une première. C'est aussi un constat d'échec pour le parti. Celui du central démocratique. Un peu à l'image du passage en force de Maurice Gironcel à Sainte-Suzanne. Quand un individu ou le bureau décide, c'est tout le parti qui doit suivre. Tête baissée. Les yeux fermés.
Et, Paul Vergès a enfoncé le clou lors d'un meeting de Maurice Gironcel. "Il y a eu un engagement. Il faut qu'il soit respecté", a-t-il dit sur Réunion Première. C'est ce même Paul Vergès qui d'ailleurs avait annoncé sa démission de sénateur, au soir même de son élection. Il s'y était engagé en direct sur Réunion Première. Avec conviction et émotion.
"Je veux rester à côté de ceux qui souffrent" à La Réunion. Trois mois après, tous ceux qui souffrent sont toujours au palais de Luxembourg, à 8.000 € nets/mois, et voyagent en première classe. Et Paul Vergès est toujours à leur côté. Et c'est ce même Paul Vergès qui fait la leçon en matière de respect de la parole donnée.
"En ce qui concerne ce coup de force soutenu par le parti, je crois que le PCR a été trompé. Il a reçu de fausses informations. C'est sur ces éléments que le parti communiste a pris la décision de soutenir Maurice Gironcel. Le PCR devrait plus écouter sa base. Ce sont les militants qui font ce parti". Yolande Pausé n'entend pas pour autant quitter son parti, "à moins qu'on me pousse dehors…"
Et, Paul Vergès a enfoncé le clou lors d'un meeting de Maurice Gironcel. "Il y a eu un engagement. Il faut qu'il soit respecté", a-t-il dit sur Réunion Première. C'est ce même Paul Vergès qui d'ailleurs avait annoncé sa démission de sénateur, au soir même de son élection. Il s'y était engagé en direct sur Réunion Première. Avec conviction et émotion.
"Je veux rester à côté de ceux qui souffrent" à La Réunion. Trois mois après, tous ceux qui souffrent sont toujours au palais de Luxembourg, à 8.000 € nets/mois, et voyagent en première classe. Et Paul Vergès est toujours à leur côté. Et c'est ce même Paul Vergès qui fait la leçon en matière de respect de la parole donnée.
"En ce qui concerne ce coup de force soutenu par le parti, je crois que le PCR a été trompé. Il a reçu de fausses informations. C'est sur ces éléments que le parti communiste a pris la décision de soutenir Maurice Gironcel. Le PCR devrait plus écouter sa base. Ce sont les militants qui font ce parti". Yolande Pausé n'entend pas pour autant quitter son parti, "à moins qu'on me pousse dehors…"