Réaction à la décision de Nassimah Dindar, présidente du Conseil général d'une baisse de l'aide départementale en faveur de la Petite enfance.
"Nous prenons acte de la décision de Nassimah Dindar, présidente du Conseil général, de ne pas renouveler certains financements alloués aux structures de la Petite enfance de La Réunion.
Nous déplorons cette décision brutale et prise sans aucune concertation avec les municipalités.
La présidente donne le signal fort que la Petite enfance, le bien-être et l'équilibre et plus précisément, des mamans, ne sont plus sa priorité.
Cette décision remet en cause l'équilibre financier et la pérennité de 200 crèches. Les crèches si précieuses et utiles, comme chaque professionnel de la petite enfance, pour préparer et accompagner nos marmailles à la suite de leur parcours.
Cette décision impacte directement le développement de nouvelles structures, de nouveaux. Une ineptie lorsque l'on sait que le département de La Réunion est situé dans les six derniers départements français les moins dotés en capacité d'accueil".
"Nous prenons acte de la décision de Nassimah Dindar, présidente du Conseil général, de ne pas renouveler certains financements alloués aux structures de la Petite enfance de La Réunion.
Nous déplorons cette décision brutale et prise sans aucune concertation avec les municipalités.
La présidente donne le signal fort que la Petite enfance, le bien-être et l'équilibre et plus précisément, des mamans, ne sont plus sa priorité.
Cette décision remet en cause l'équilibre financier et la pérennité de 200 crèches. Les crèches si précieuses et utiles, comme chaque professionnel de la petite enfance, pour préparer et accompagner nos marmailles à la suite de leur parcours.
Cette décision impacte directement le développement de nouvelles structures, de nouveaux. Une ineptie lorsque l'on sait que le département de La Réunion est situé dans les six derniers départements français les moins dotés en capacité d'accueil".