La liste communiste sur laquelle figurera Roland Robert peut-elle conserver la mairie dans le giron du PCR ? Ce n'est pas la question essentielle à laquelle Doris Carassou, directeur général des services à la mairie de La Possession, et Philippe Roland Robert, conseiller municipal et fils du maire, veulent une question rapide. L'administratif et l'élu sont pressés de savoir qui de l'un ou de l'autre conduira la liste communiste pour les prochaines Municipales 2014. Ce choix appartient à Roland Robert.
Le maire de La Possession a trois opportunités. La maîtrise des dossiers de son DGS, la jeunesse et la fougue de son fils Philippe Roland Robert ou l'expérience et la capacité de fédérer de Roland Robert. La quatrième hypothèse, mais avec des dommages collatéraux imprévisibles, c'est le retour en grâce de Jean-Claude Tréport, conseiller municipal. L'édile de La Possession a déjeuné avec son "ami de trente ans", il y a quelques jours. L'ancien président de l'US Possession (équipe de football) a - quoi qu'il arrive - une carte à jouer, et non des moindres, aux Municipales 2014.
Seule certitude : il ne sera pas tête de liste. Son rôle peut s'avérer malgré tout déterminant. Son objectif encore plus : régler ses comptes avec le DGS, Doris Carassou. Peut-il pour autant faire pencher la balance en faveur de Philippe Roland Robert. Sans aucun doute. Jean-Claude Tréport, de par ses succès sportifs et populaires à la présidence de l'équipe de football de La Possession, a gardé un fort capital sympathie dans cette ville de l'Ouest. Et, "JC" a la rancune tenace. Le conseiller municipal actuellement "d'opposition" sera un soutien décisif pour le fils du maire.
La bataille s'annonce longue et difficile au sein de la majorité municipale. Une majorité qui continue à perdre des élus et aussi de la crédibilité. La lutte d'influence en interne entre le conseiller municipal, Philippe Roland Robert, et le DGS, Doris Carassou, continue à laisser des traces au sein du groupe. Le recul que veut prendre Roland Robert, est un signe qui ne trompe pas. A l'image du PCR, les communistes de La Possession sont victimes de l'usure du pouvoir. Les mentalités aujourd'hui "embourgeoisées" et prisonnières du confort matériel qu'apporte les mandat électifs successifs, montrent des élus parfois très loin des priorités et des urgences de la population.
Roland Robert peut-il conserver la mairie de La Possession dans le giron du PCR ? Sans doute pas, s'il continue à croire qu'un DGS peut devenir un homme politique et un maire, en un an et demi. Philippe Roland Robert est-il pour autant l'héritier idéal, un peu comme dans les années 60, où certaines municipalités restaient dans les mêmes familles de "gros blancs". Une situation dénoncée par le PCR. En 1971 en devenant maire, Roland Robert a tourné une page de l'histoire de La Possession. C'est une autre page qu'il va tourner en mars 2014. Cette nouvelle histoire - quoi qu'il arrive - s'écrira sans lui…
Le maire de La Possession a trois opportunités. La maîtrise des dossiers de son DGS, la jeunesse et la fougue de son fils Philippe Roland Robert ou l'expérience et la capacité de fédérer de Roland Robert. La quatrième hypothèse, mais avec des dommages collatéraux imprévisibles, c'est le retour en grâce de Jean-Claude Tréport, conseiller municipal. L'édile de La Possession a déjeuné avec son "ami de trente ans", il y a quelques jours. L'ancien président de l'US Possession (équipe de football) a - quoi qu'il arrive - une carte à jouer, et non des moindres, aux Municipales 2014.
Seule certitude : il ne sera pas tête de liste. Son rôle peut s'avérer malgré tout déterminant. Son objectif encore plus : régler ses comptes avec le DGS, Doris Carassou. Peut-il pour autant faire pencher la balance en faveur de Philippe Roland Robert. Sans aucun doute. Jean-Claude Tréport, de par ses succès sportifs et populaires à la présidence de l'équipe de football de La Possession, a gardé un fort capital sympathie dans cette ville de l'Ouest. Et, "JC" a la rancune tenace. Le conseiller municipal actuellement "d'opposition" sera un soutien décisif pour le fils du maire.
La bataille s'annonce longue et difficile au sein de la majorité municipale. Une majorité qui continue à perdre des élus et aussi de la crédibilité. La lutte d'influence en interne entre le conseiller municipal, Philippe Roland Robert, et le DGS, Doris Carassou, continue à laisser des traces au sein du groupe. Le recul que veut prendre Roland Robert, est un signe qui ne trompe pas. A l'image du PCR, les communistes de La Possession sont victimes de l'usure du pouvoir. Les mentalités aujourd'hui "embourgeoisées" et prisonnières du confort matériel qu'apporte les mandat électifs successifs, montrent des élus parfois très loin des priorités et des urgences de la population.
Roland Robert peut-il conserver la mairie de La Possession dans le giron du PCR ? Sans doute pas, s'il continue à croire qu'un DGS peut devenir un homme politique et un maire, en un an et demi. Philippe Roland Robert est-il pour autant l'héritier idéal, un peu comme dans les années 60, où certaines municipalités restaient dans les mêmes familles de "gros blancs". Une situation dénoncée par le PCR. En 1971 en devenant maire, Roland Robert a tourné une page de l'histoire de La Possession. C'est une autre page qu'il va tourner en mars 2014. Cette nouvelle histoire - quoi qu'il arrive - s'écrira sans lui…