
"Il venait remercier La Réunion, premier territoire de France d’avoir rallié la France Libre en novembre 1942, répondant ainsi à son appel du 18 juin 1940. Le général venait marquer l’événement en posant, le 8 octobre, la première pierre du monument des Forces Françaises Libres (FFL) au Barachois. Il venait également rendre hommage aux Réunionnais qui s’étaient engagés sur le Léopard pour libérer la France. Une foule immense l’accueillera à Gillot et sur tout son trajet dans l’Est jusqu’à Salazie.
Le jeudi 9 juillet 1959, la foule est encore au rendez-vous de l’Histoire à Gillot. A 21h20, le général de Gaulle, Président de la République Française débarque à La Réunion en visite officielle. La légende voudrait qu’il ait tenu la promesse faite à une vieille femme de Sainte-Suzanne, en 1953, de revenir à "l’île de la fidélité" si jamais, ce qui paraissait improbable, le destin le ramenait à des fonctions d’autorité de l’Etat. La Réunion fait un accueil délirant au premier chef d’Etat français à avoir foulé le sol réunionnais.
Saint-Denis va adhérer massivement au gaullisme ; c’est-à-dire à un projet politique caractérisé par le rassemblement populaire au-delà des partis, le sens de l’intérêt général par la participation de tous à l’action citoyenne, et la participation des travailleurs au fonctionnement de l’entreprise, et par la place d’une France forte et respectée dans l’Europe et dans le monde. C’est le général de Gaulle qui fait entrer le référendum et les femmes dans la vie politique. Consulter le peuple directement sur les grandes réformes et donner le droit de vote aux femmes avaient toujours été refusé par la Gauche au pouvoir.
Le gaullisme est intemporel ! Le gaullisme est d’hier et de demain ! Hier c’était Jean Chatel, maire de 1925 jusqu’en 1937, quand il se retire pour raisons de santé. Pendant son mandat, il lutte contre la grande pauvreté et pour la propreté : il crée l’association Goutte de Lait contre la malnutrition des enfants, les cantines scolaires, les hospices de vieillards ; il lutte efficacement contre la peste qui apparaît en ville en janvier 1927.
La Ville le rappelle, comme pour le général de Gaulle, en 1946. Sorti de sa retraite, il remporte les municipales et les cantonales contre Raymond Vergès. Il meurt dans le bureau mairal le 27 avril 1948. La pauvreté des Dionysiens, la propreté de la ville et la probité des élus qui nous gouvernent avec la férocité de caïmans attirés par l’argent : voilà les priorités de Saint-Denis pour 2014. Et encore une fois, seul le gaullisme pourra nous sauver".
Le jeudi 9 juillet 1959, la foule est encore au rendez-vous de l’Histoire à Gillot. A 21h20, le général de Gaulle, Président de la République Française débarque à La Réunion en visite officielle. La légende voudrait qu’il ait tenu la promesse faite à une vieille femme de Sainte-Suzanne, en 1953, de revenir à "l’île de la fidélité" si jamais, ce qui paraissait improbable, le destin le ramenait à des fonctions d’autorité de l’Etat. La Réunion fait un accueil délirant au premier chef d’Etat français à avoir foulé le sol réunionnais.
Saint-Denis va adhérer massivement au gaullisme ; c’est-à-dire à un projet politique caractérisé par le rassemblement populaire au-delà des partis, le sens de l’intérêt général par la participation de tous à l’action citoyenne, et la participation des travailleurs au fonctionnement de l’entreprise, et par la place d’une France forte et respectée dans l’Europe et dans le monde. C’est le général de Gaulle qui fait entrer le référendum et les femmes dans la vie politique. Consulter le peuple directement sur les grandes réformes et donner le droit de vote aux femmes avaient toujours été refusé par la Gauche au pouvoir.
Le gaullisme est intemporel ! Le gaullisme est d’hier et de demain ! Hier c’était Jean Chatel, maire de 1925 jusqu’en 1937, quand il se retire pour raisons de santé. Pendant son mandat, il lutte contre la grande pauvreté et pour la propreté : il crée l’association Goutte de Lait contre la malnutrition des enfants, les cantines scolaires, les hospices de vieillards ; il lutte efficacement contre la peste qui apparaît en ville en janvier 1927.
La Ville le rappelle, comme pour le général de Gaulle, en 1946. Sorti de sa retraite, il remporte les municipales et les cantonales contre Raymond Vergès. Il meurt dans le bureau mairal le 27 avril 1948. La pauvreté des Dionysiens, la propreté de la ville et la probité des élus qui nous gouvernent avec la férocité de caïmans attirés par l’argent : voilà les priorités de Saint-Denis pour 2014. Et encore une fois, seul le gaullisme pourra nous sauver".