En signant le contrat social élaboré par la Fondation Abbé Pierre, François Hollande a pris un engagement fort devant les français mais surtout devant les réunionnais.
Chez nous, la situation est connue : 80% des foyers réunionnais sont éligibles à un logement social, 20 000 demandes de logements sociaux sont en attente, pour réponde à la demande, il faudrait chaque année construire 5 000 logements sociaux. A cela, il faut ajouter un parc important de logements sociaux dégradés, un politique d’acquisition à la propriété inexistante, ce qui rend impossible tout parcours résidentiel.
Le gouvernement actuel a fait le choix de rendre le logement social défiscalisable, ce qui n’est pas une mauvaise chose, mais quand la défiscalisation se substitue à la LBU, ce n’est pas acceptable.
Le logement social ne peut dépendre du bon vouloir d’investisseurs privés, les crédits de paiement de la LBU en faveur du logement social outre-mer sont aujourd’hui en diminution de 31%.
Et ce n’est pas la dernière proposition de Nicolas Sarkozy portant sur l’augmentation des droits de construction de 30%, qui changera la situation des ménages en attente d’un logement social, c’est au mieux une bonne nouvelle pour les propriétaires qui voudront agrandir leur maison individuelle.
La lutte contre le mal-logement passe par des engagements forts et François Hollande a formulé des propositions concrètes :
- construire 150 000 logements sociaux par an par un doublement du budget de l’état,
- rénover 1 000 000 de logements,
- l’encadrement des loyers,
- création d’une caution mutuelle pour facilité l’accès des jeunes au logement,
- tarification progressive de l’eau, du gaz et de l’électricité pour contenir les charges qui pèsent sur les familles précaires.
Chez nous, la situation est connue : 80% des foyers réunionnais sont éligibles à un logement social, 20 000 demandes de logements sociaux sont en attente, pour réponde à la demande, il faudrait chaque année construire 5 000 logements sociaux. A cela, il faut ajouter un parc important de logements sociaux dégradés, un politique d’acquisition à la propriété inexistante, ce qui rend impossible tout parcours résidentiel.
Le gouvernement actuel a fait le choix de rendre le logement social défiscalisable, ce qui n’est pas une mauvaise chose, mais quand la défiscalisation se substitue à la LBU, ce n’est pas acceptable.
Le logement social ne peut dépendre du bon vouloir d’investisseurs privés, les crédits de paiement de la LBU en faveur du logement social outre-mer sont aujourd’hui en diminution de 31%.
Et ce n’est pas la dernière proposition de Nicolas Sarkozy portant sur l’augmentation des droits de construction de 30%, qui changera la situation des ménages en attente d’un logement social, c’est au mieux une bonne nouvelle pour les propriétaires qui voudront agrandir leur maison individuelle.
La lutte contre le mal-logement passe par des engagements forts et François Hollande a formulé des propositions concrètes :
- construire 150 000 logements sociaux par an par un doublement du budget de l’état,
- rénover 1 000 000 de logements,
- l’encadrement des loyers,
- création d’une caution mutuelle pour facilité l’accès des jeunes au logement,
- tarification progressive de l’eau, du gaz et de l’électricité pour contenir les charges qui pèsent sur les familles précaires.