Paul Vergès fait montre de peu d'état d'âme. C'est sa politique. Il aime provoquer. Toujours la dérision. Sa cible préférée, le gouvernement que le PCR a soutenu, mais "des dirigeants de Gauche qui ne respectent pas leurs engagements". Le sénateur de La Réunion a énuméré les décisions imprécises. "Il y a la défiscalisation. On n'en connaît pas encore les modalités. Il y a aussi l'expérimentation du crédit d'impôt dont on ignore le contenu. L'argent de ces mesures, sera pris sur le budget existant. Il n'y a pas d'effort supplémentaire de l'Etat. Ce qui signifie qu'à terme la défiscalisation va disparaître".
Le parlementaire a également critiqué les décisions sur le coût de la vie (loi de régulation économique), une transition pour aborder la surrémunération. Et ces "53 % qui sont également appelés à disparaître". "La Cour des comptes, Bercy, des politiques demandent sa remise en cause au nom de l'égalité républicaine. Nous, nous disons qu'il faut préserver les fonctionnaires. Et, La Réunion. L'économie locale peut-elle se passer de 700 millions d'euros ? Epargnons cet argent avant que le couperet tombe". Ce que Paul Vergès n'ignore pas c'est que l'épargne qu'il propose, maintient l'inégalité de traitement.
Le conseiller régional de l'Alliance a aussi dit quelques mots sur ses confrères politiques. Il y a d'abord les sept députés rien à voir avec les sept samouraïs d'Akira Kurosawa (film de 1954) mais plus avec les rois fainéants et le roi Dagobert (celui qui a mis sa culotte à l'envers). "Je n'ai cité aucun nom", a précisé Paul Vergès, très ironique avec les politiques "qui entrent en transe à six mois d'une échéance électorale". Là non plus, il n'a donné aucun nom. Et aucun parti. Car, il ne veut se mettre personne à dos. Car, il les attend tous pour un kabar et un nouveau CRADS (Comité républicain d'action démocratique et sociale).
Et, Paul Vergès va aller au bout de ses contradictions à la fin de sa conférence de presse. "Ce n'est pas facile pour le gouvernement, surtout dans ce contexte de crise. Je me demande souvent ce que j'aurais fait, si j'avais été à leur place. Si j'avais été Premier ministre". Puisque Paul Vergès n'est pas à une contradiction près, et qu'il est prêt à tout… Si Paul Vergès a été Premier ministre en ce moment, il aurait sans aucun doute aidé le président de Région Didier Robert, à faire la nouvelle route du Littoral...
Le parlementaire a également critiqué les décisions sur le coût de la vie (loi de régulation économique), une transition pour aborder la surrémunération. Et ces "53 % qui sont également appelés à disparaître". "La Cour des comptes, Bercy, des politiques demandent sa remise en cause au nom de l'égalité républicaine. Nous, nous disons qu'il faut préserver les fonctionnaires. Et, La Réunion. L'économie locale peut-elle se passer de 700 millions d'euros ? Epargnons cet argent avant que le couperet tombe". Ce que Paul Vergès n'ignore pas c'est que l'épargne qu'il propose, maintient l'inégalité de traitement.
Le conseiller régional de l'Alliance a aussi dit quelques mots sur ses confrères politiques. Il y a d'abord les sept députés rien à voir avec les sept samouraïs d'Akira Kurosawa (film de 1954) mais plus avec les rois fainéants et le roi Dagobert (celui qui a mis sa culotte à l'envers). "Je n'ai cité aucun nom", a précisé Paul Vergès, très ironique avec les politiques "qui entrent en transe à six mois d'une échéance électorale". Là non plus, il n'a donné aucun nom. Et aucun parti. Car, il ne veut se mettre personne à dos. Car, il les attend tous pour un kabar et un nouveau CRADS (Comité républicain d'action démocratique et sociale).
Et, Paul Vergès va aller au bout de ses contradictions à la fin de sa conférence de presse. "Ce n'est pas facile pour le gouvernement, surtout dans ce contexte de crise. Je me demande souvent ce que j'aurais fait, si j'avais été à leur place. Si j'avais été Premier ministre". Puisque Paul Vergès n'est pas à une contradiction près, et qu'il est prêt à tout… Si Paul Vergès a été Premier ministre en ce moment, il aurait sans aucun doute aidé le président de Région Didier Robert, à faire la nouvelle route du Littoral...