Paradoxe. C'est dans cette même salle de l'hôtel Le Saint-Denis, qu'il y a moins d'un an, au lendemain du premier tour des élections régionales 2010, la grande famille du PS rassemblée autour de Gilbert Annette, expliquait pourquoi l'union entre les socialistes et la liste conduite par Paul Vergès, n'était pas réalisable.
Quelques mois plus tard, regrets, remords, mea culpa et objectif mieux défini : “Après l'épisode regrettable des dernières élections régionales où notre incapacité à unir les forces de progrès au deuxième tour, a fait basculer la Région dans le camp UMP, il est aujourd'hui essentiel de reconstituer un socle autour du PCR et du PS, et ce pour maintenir le Conseil général dans le camp du progrès social et de l'opposition au gouvernement et à ses soutiens locaux”.
Changement de collectivité, changement de stratégie. “Une délégation de chaque parti s'est rencontré plusieurs fois. Nous avons établi un protocole d'accord”, ont indiqué les deux responsables. Ainsi lors du premier tour des cantonales : "L'expression propre du PCR et du PS ne doit en aucun cas, faire obstacle à la stratégie d'union et de rassemblement”. Il s'agit ici d'éviter “toute attaque réciproque à caractère personnel de nature à porter atteinte aux conditions de leur union au deuxième tour”.
Et en ce qui concerne le deuxième tour : “seul le candidat présenté ou soutenu par le PCR ou le PS ayant fait le plus de voix au premier tour, est maintenu en lice pour le second tour et bénéficie du soutien actif du PCR et du PS”.
La signature de ce protocole hier matin devant la presse, a un objectif précis selon les deux représentants politiques : "renforcer l'actuelle majorité du Conseil général".
Quelques mois plus tard, regrets, remords, mea culpa et objectif mieux défini : “Après l'épisode regrettable des dernières élections régionales où notre incapacité à unir les forces de progrès au deuxième tour, a fait basculer la Région dans le camp UMP, il est aujourd'hui essentiel de reconstituer un socle autour du PCR et du PS, et ce pour maintenir le Conseil général dans le camp du progrès social et de l'opposition au gouvernement et à ses soutiens locaux”.
Changement de collectivité, changement de stratégie. “Une délégation de chaque parti s'est rencontré plusieurs fois. Nous avons établi un protocole d'accord”, ont indiqué les deux responsables. Ainsi lors du premier tour des cantonales : "L'expression propre du PCR et du PS ne doit en aucun cas, faire obstacle à la stratégie d'union et de rassemblement”. Il s'agit ici d'éviter “toute attaque réciproque à caractère personnel de nature à porter atteinte aux conditions de leur union au deuxième tour”.
Et en ce qui concerne le deuxième tour : “seul le candidat présenté ou soutenu par le PCR ou le PS ayant fait le plus de voix au premier tour, est maintenu en lice pour le second tour et bénéficie du soutien actif du PCR et du PS”.
La signature de ce protocole hier matin devant la presse, a un objectif précis selon les deux représentants politiques : "renforcer l'actuelle majorité du Conseil général".