A la rentrée des classes, la mairie a dû remanier ses personnels suite aux suppressions de postes de précaires. Ainsi, des agents communaux se sont retrouvés sur des postes ne correspondant pas à leur profils (cantinière qui devient surveillante etc...).
A l'époque, nous avons averti le responsable de service des problèmes rencontrés: certains personnels mécontents qui faisaient la grève du zèle et qui ne surveillaient que leur sac à main, les enfants livrés à eux-mêmes, une présence minimale... On nous dit que pour que la pilule passe en compensation ils travaillent moins...
Nous avons fait part au directeur de nos inquiétudes tout en comprenant la situation dans laquelle se retrouvait subitement ses nouvelles surveillantes mais qu'un minimum de formation s'imposait.
Bien entendu la mairie est restée dans son inertie habituelle et nous nous retrouvons aujourd'hui avec des parents qui n'arrêtent pas de venir régler des comptes avec certaines surveillantes ou le directeur. Les enfants sont traités de manière inadmissible: "barre a ou espèce Ti Comores" "Ma brise a ou si ou continue". Cela relève bien d'un manque de formation et de pédagogie.
Averties, la mairie et l'école n'ont rien trouvé de mieux que sortir un nouveau règlement de la cantine. Règlement, établi sans aucune concertation avec les représentants de parents d'élève, qui menace les parents d'exclure leurs enfants de la cantine si des incivilités de leur part étaient constatées... quid de l'attitude de certaines surveillantes ?
L'inspection académique n'est pas en reste. Depuis 3 ans, l'école récupère tous les cas difficiles que les autres écoles ne veulent plus et depuis 3 ans, à chaque conseil d'école on nous dit que ces jeunes attendent une place en milieu spécialisé et que c'est une question de place dans ses dites structures. A ce rythme là, ses enfants qui ont besoin d'aide, auront 16 ans avant d'être pris en compte.
Il est plus qu'urgent que la mairie mette des personnels compétents et que chacun prenne ses responsabilités avant que les violences verbales se terminent en violences physiques tant les tensions sont fortes.
A l'époque, nous avons averti le responsable de service des problèmes rencontrés: certains personnels mécontents qui faisaient la grève du zèle et qui ne surveillaient que leur sac à main, les enfants livrés à eux-mêmes, une présence minimale... On nous dit que pour que la pilule passe en compensation ils travaillent moins...
Nous avons fait part au directeur de nos inquiétudes tout en comprenant la situation dans laquelle se retrouvait subitement ses nouvelles surveillantes mais qu'un minimum de formation s'imposait.
Bien entendu la mairie est restée dans son inertie habituelle et nous nous retrouvons aujourd'hui avec des parents qui n'arrêtent pas de venir régler des comptes avec certaines surveillantes ou le directeur. Les enfants sont traités de manière inadmissible: "barre a ou espèce Ti Comores" "Ma brise a ou si ou continue". Cela relève bien d'un manque de formation et de pédagogie.
Averties, la mairie et l'école n'ont rien trouvé de mieux que sortir un nouveau règlement de la cantine. Règlement, établi sans aucune concertation avec les représentants de parents d'élève, qui menace les parents d'exclure leurs enfants de la cantine si des incivilités de leur part étaient constatées... quid de l'attitude de certaines surveillantes ?
L'inspection académique n'est pas en reste. Depuis 3 ans, l'école récupère tous les cas difficiles que les autres écoles ne veulent plus et depuis 3 ans, à chaque conseil d'école on nous dit que ces jeunes attendent une place en milieu spécialisé et que c'est une question de place dans ses dites structures. A ce rythme là, ses enfants qui ont besoin d'aide, auront 16 ans avant d'être pris en compte.
Il est plus qu'urgent que la mairie mette des personnels compétents et que chacun prenne ses responsabilités avant que les violences verbales se terminent en violences physiques tant les tensions sont fortes.