La France peut-elle se payer de luxe de ne plus être en Nouvelle-Calédonie, et de garder le contrôle du capital Eramet, société qui gère le nickel caldénionien, plus d'un quart du gisement mondial ? Non. Et sans aucune hésitation.
La Nouvelle-Calédonie, autonome ou indépendante, peut-elle se passer de la France pour conserver, extraire et vendre son nickel ? Cette puissance économique peut-elle garantir une indépendance sur l'échiquier mondial, tant au niveau institutionnel qu'économique. Non. Et sans aucune hésitation.
C'est un fait. La Nouvelle-Calédonie n'est pas libre dans le choix de son avenir institutionnel et économique. C'est sans doute pour cette raison que le président de la République a exhorté la population calédonienne a vite faire son choix sur son devenir statutaire. Aujourd'hui, les Kanaks possèdent l'une des plus grosses sociétés de nickel.
Le président de la République l'a dit : "Vous verrez, vous aurez encore plus de relations intéressées qui ne seront pas désintéressées". Nicolas Sarkozy a également ajouté lors de son discours hier : "Ce sont des choix qu'il faudra faire. Mais en ce qui nous concerne, les nôtres, les évolutions institutionnelles, elles ne sont nullement motivées par des raisons budgétaires, et ce en dépit de ce que certains peuvent dire".
En un mot, la France n'essaye pas de se débarrasser de ses Outre-mers, soi-disant parce qu'elle n'a pas plus de moyens de les garder.
La Nouvelle-Calédonie, autonome ou indépendante, peut-elle se passer de la France pour conserver, extraire et vendre son nickel ? Cette puissance économique peut-elle garantir une indépendance sur l'échiquier mondial, tant au niveau institutionnel qu'économique. Non. Et sans aucune hésitation.
C'est un fait. La Nouvelle-Calédonie n'est pas libre dans le choix de son avenir institutionnel et économique. C'est sans doute pour cette raison que le président de la République a exhorté la population calédonienne a vite faire son choix sur son devenir statutaire. Aujourd'hui, les Kanaks possèdent l'une des plus grosses sociétés de nickel.
Le président de la République l'a dit : "Vous verrez, vous aurez encore plus de relations intéressées qui ne seront pas désintéressées". Nicolas Sarkozy a également ajouté lors de son discours hier : "Ce sont des choix qu'il faudra faire. Mais en ce qui nous concerne, les nôtres, les évolutions institutionnelles, elles ne sont nullement motivées par des raisons budgétaires, et ce en dépit de ce que certains peuvent dire".
En un mot, la France n'essaye pas de se débarrasser de ses Outre-mers, soi-disant parce qu'elle n'a pas plus de moyens de les garder.