La rentrée des classes a eu lieu dans une "saine" ambiance politique. La nouvelle majorité "hétéroclite, zembrocal ou arc-en-ciel" s'est donnée les outils pour "respecter le contrat passé avec la population réunionnaise". Nassimah Dindar est sortie de l'hémicycle avec le sentiment du travail accompli.
"C'était une assemblée plénière de mise en œuvre de notre mandat. Elle était technique et formaliste, certes un peu longue. Cette première étape était nécessaire. Maintenant, nous pouvons continuer à préparer la prochaine. Ce sera la présentation de notre projet pour La Réunion".
"Nous présenterons notre projet lors de la prochaine assemblée plénière. J'ai hâte de travailler sur ce document qui sera notre feuille de route pour cette mandature qui commence. Il s'agira d'évaluer les coûts, l'espace et tous les publics, et ce dans la poursuite ou dans l'attente de l'intervention départementale".
"Cette mise en œuvre se déroulera dans le cadre des échéances plus politiques. Mais avant tout nous voulons inscrire notre projet dans le cadre réunionnais, tant en matière de développement économique et social, qu'en terme de développement durable et endogène".
"Le social, c'est aussi l'insertion. L'insertion, c'est avant tout la formation, la mise en place d'un projet de vie, la recherche d'un emploi ou la création de son activité. De ce fait, le Conseil général a une grande responsabilité. Car, nous pouvons utiliser le social pour contribuer à la création de richesses et au développement économique, et maintenir ainsi le plus grand nombre de Réunionnais, loin des dispositifs sociaux”.
"Ce défi est difficile. Mais, la majorité est déterminée à le relever pour et avec tous les Réunionnais", a conclu Nassimah Dindar, présidente du Conseil général.
"C'était une assemblée plénière de mise en œuvre de notre mandat. Elle était technique et formaliste, certes un peu longue. Cette première étape était nécessaire. Maintenant, nous pouvons continuer à préparer la prochaine. Ce sera la présentation de notre projet pour La Réunion".
"Nous présenterons notre projet lors de la prochaine assemblée plénière. J'ai hâte de travailler sur ce document qui sera notre feuille de route pour cette mandature qui commence. Il s'agira d'évaluer les coûts, l'espace et tous les publics, et ce dans la poursuite ou dans l'attente de l'intervention départementale".
"Cette mise en œuvre se déroulera dans le cadre des échéances plus politiques. Mais avant tout nous voulons inscrire notre projet dans le cadre réunionnais, tant en matière de développement économique et social, qu'en terme de développement durable et endogène".
"Le social, c'est aussi l'insertion. L'insertion, c'est avant tout la formation, la mise en place d'un projet de vie, la recherche d'un emploi ou la création de son activité. De ce fait, le Conseil général a une grande responsabilité. Car, nous pouvons utiliser le social pour contribuer à la création de richesses et au développement économique, et maintenir ainsi le plus grand nombre de Réunionnais, loin des dispositifs sociaux”.
"Ce défi est difficile. Mais, la majorité est déterminée à le relever pour et avec tous les Réunionnais", a conclu Nassimah Dindar, présidente du Conseil général.