
Pourtant, le 22 août dernier dans une lettre adressée au président de La République, le PCR avait attiré son attention sur une situation explosive.
Dans cette même lettre le PCR a de tout de même réaffirmé qu’il était évident que tout ne pouvait être changé d’un coup de baguette magique mais qu’il était nécessaire de l’engager au plus vite.
Désormais, que faut-il faire ou de ne pas faire ? Chacun a certainement sa petite idée sur la question. A commencer par les jeunes eux-mêmes qui, au fond, demandent le respect de la parole donnée. Et c’est bien normal.
Ce respect de la parole donnée c’est celle des parlementaires élus –es qui ont promis : du travail pour les jeunes, la relance de l’activité, une démocratie plus vivante. Bref, le bonheur…ou quelque chose qui y ressemble, et que personne ne peut trouver illégitime.
Cependant, ces 60 premiers jours de l’année démontrent que désenchantement et détresse sociale peuvent conduire à des drames. Je veux parler ici des violences extrêmes que s’infligent eux-mêmes des centaines de personnes.
Suicides, tentatives de suicides par centaines sont d’autres signes très inquiétant qui doivent aussi nous interpeller sur l’état de notre société. Nul ne peut se dire indifférent et nul ne l’a dit d’ailleurs.
Cependant ne faut-il pas s’interroger sur les causes profondes de ces drames qui sont des révélateurs au combien tristes quand on sait que, dans le même temps
Dans cette même lettre le PCR a de tout de même réaffirmé qu’il était évident que tout ne pouvait être changé d’un coup de baguette magique mais qu’il était nécessaire de l’engager au plus vite.
Désormais, que faut-il faire ou de ne pas faire ? Chacun a certainement sa petite idée sur la question. A commencer par les jeunes eux-mêmes qui, au fond, demandent le respect de la parole donnée. Et c’est bien normal.
Ce respect de la parole donnée c’est celle des parlementaires élus –es qui ont promis : du travail pour les jeunes, la relance de l’activité, une démocratie plus vivante. Bref, le bonheur…ou quelque chose qui y ressemble, et que personne ne peut trouver illégitime.
Cependant, ces 60 premiers jours de l’année démontrent que désenchantement et détresse sociale peuvent conduire à des drames. Je veux parler ici des violences extrêmes que s’infligent eux-mêmes des centaines de personnes.
Suicides, tentatives de suicides par centaines sont d’autres signes très inquiétant qui doivent aussi nous interpeller sur l’état de notre société. Nul ne peut se dire indifférent et nul ne l’a dit d’ailleurs.
Cependant ne faut-il pas s’interroger sur les causes profondes de ces drames qui sont des révélateurs au combien tristes quand on sait que, dans le même temps