
Les oppositions ne sont pas en reste : entre un cours magistral sur le patrimoine possessionnais, une énième dénonciation du bidonville de la Ravine à Malheur sans compter les conférences de presse risibles d’un certain aspirant-maire, les Possessionnais n’ont que l’embarras du choix.
En 2008, les Possessionnais ont choisi de reconduire, dès le premier tour, le maire actuel à plus de 52%, un score cependant bien inférieur à ceux réalisés lors des élections précédentes. Depuis, beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts de notre commune. En mars 2011, le maire-conseiller général a frôlé la correctionnelle face à la jeune Vanessa Miranville qui a réussi à le contraindre à un humiliant second tour gagné que de justesse malgré les moyens colossaux déployés par son équipe.
Laquelle équipe effritée par le limogeage de M. Tréport à son retour de croisière et celui de Mme. Rivière plus récemment. M. Roland Robert affirme qu’il s’est débarrassé de ses deux là pour assainir son équipe ; ses détracteurs affirment qu’il les a écartés pour faire place nette à son fils, M. Philippe Robert, l’actuel premier adjoint de son maire-père.
Toujours est-il que contrairement à certains élus de l’opposition (entre ceux qui pratiquent la politique de la chaise vide et ceux qui brassent beaucoup d’air et dont le seul mérite aura été de faire perdre la présidence du club de handball à une colistière), celles et ceux qui aspirent à prendre la place du maire actuel semblent être d’un autre niveau et animés d’un vrai désir de changement et de renouveau.
A ce titre, je ne peux que saluer la sagesse de Sylviane Rivière qui n’a pas insisté pour être tête de liste du PLR à La Possession. Pour avoir aimé Roland Robert jusqu’en mars 2012 (selon ses propres mots), elle aurait difficilement pu incarner un changement. Jean-Claude Tréport non plus. Mais cet homme, ce cafre debout, comme il aime se décrire, s’il ne peut pas gagner, pourrait peser de tout son poids (au sens propre comme au sens figuré) en cas de scrutin serré. Quant au PS, il ne pourrait pas faire pire qu’en 2008 avec Sarah Rupert, n’est-ce pas Roland ?
Vanessa Miranville reste la seule à avoir véritablement croisé le fer avec Roland Robert avec un certain succès. La benjamine compte bien cette fois- ci détrôner le doyen. Réussira-t-elle en 2014 ce qu’elle a raté de peu en 2011? La jeunotte, comme certains détracteurs l’appellent, a, depuis, grandi de trois ans et certainement acquis les connaissances et l’expérience nécessaires pour réaliser le grand saut.
Et si LE changement passait par elle ? N’en déplaise à certains……
En 2008, les Possessionnais ont choisi de reconduire, dès le premier tour, le maire actuel à plus de 52%, un score cependant bien inférieur à ceux réalisés lors des élections précédentes. Depuis, beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts de notre commune. En mars 2011, le maire-conseiller général a frôlé la correctionnelle face à la jeune Vanessa Miranville qui a réussi à le contraindre à un humiliant second tour gagné que de justesse malgré les moyens colossaux déployés par son équipe.
Laquelle équipe effritée par le limogeage de M. Tréport à son retour de croisière et celui de Mme. Rivière plus récemment. M. Roland Robert affirme qu’il s’est débarrassé de ses deux là pour assainir son équipe ; ses détracteurs affirment qu’il les a écartés pour faire place nette à son fils, M. Philippe Robert, l’actuel premier adjoint de son maire-père.
Toujours est-il que contrairement à certains élus de l’opposition (entre ceux qui pratiquent la politique de la chaise vide et ceux qui brassent beaucoup d’air et dont le seul mérite aura été de faire perdre la présidence du club de handball à une colistière), celles et ceux qui aspirent à prendre la place du maire actuel semblent être d’un autre niveau et animés d’un vrai désir de changement et de renouveau.
A ce titre, je ne peux que saluer la sagesse de Sylviane Rivière qui n’a pas insisté pour être tête de liste du PLR à La Possession. Pour avoir aimé Roland Robert jusqu’en mars 2012 (selon ses propres mots), elle aurait difficilement pu incarner un changement. Jean-Claude Tréport non plus. Mais cet homme, ce cafre debout, comme il aime se décrire, s’il ne peut pas gagner, pourrait peser de tout son poids (au sens propre comme au sens figuré) en cas de scrutin serré. Quant au PS, il ne pourrait pas faire pire qu’en 2008 avec Sarah Rupert, n’est-ce pas Roland ?
Vanessa Miranville reste la seule à avoir véritablement croisé le fer avec Roland Robert avec un certain succès. La benjamine compte bien cette fois- ci détrôner le doyen. Réussira-t-elle en 2014 ce qu’elle a raté de peu en 2011? La jeunotte, comme certains détracteurs l’appellent, a, depuis, grandi de trois ans et certainement acquis les connaissances et l’expérience nécessaires pour réaliser le grand saut.
Et si LE changement passait par elle ? N’en déplaise à certains……