Fallait-il donner autant d'écho au bruit d'un verre qui se brise sur une table ? Certainement pas. Car, ce n'est qu'une tempête dans un verre d'eau. Et pourtant comme les autres médias, ce sujet a retenu toute notre attention. Nous avons donné la parole aux deux parties. Et cela au détriment de la conférence de presse de l'opposition régionale sur la première année de la mandature de Didier Robert.
Mais comme les autres médias, on prend le risque de se noyer dans un verre d'eau. Et pourquoi ? Tout simplement, parce que nous ne savons toujours pas définir nos priorités. Les politiques non plus apparemment. Didier Robert est dans sa fonction et sa compétence lorsqu'il porte plainte contre TAK. Il applique le règlement intérieur et le code général des collectivités locales.
Et l'opposition régionale est dans son rôle lorsqu'elle dénonce et déplore le climat "malsain" des Commissions permanentes "qui conduit à certaines exaspérations". Une fois encore, chaque camp va avancer ses arguments. A cela, il faut ajouter la relation entre deux hommes qui ont la passion à fleur de peau. Un père spirituel et un fils qui n'ont pas totalement rompu le lien affectif. Ce lien, ils le vivent "à l'envers". De l'affection à la haine. De l'affection trahie à la vengeance.
C'est vrai, tout ça est humain. Et personne ne peut le nier. Cela signifie que le verre sera toujours à moitié… Mais que faire pour ceux qui ont soif de justice sociale, d'emploi ou de logement. Et qui guettent un projet d'avenir et de vie, une lueur d'espoir dans les yeux des élus. Comme un fils dans les yeux d'un père. Un verre à la main...
Mais comme les autres médias, on prend le risque de se noyer dans un verre d'eau. Et pourquoi ? Tout simplement, parce que nous ne savons toujours pas définir nos priorités. Les politiques non plus apparemment. Didier Robert est dans sa fonction et sa compétence lorsqu'il porte plainte contre TAK. Il applique le règlement intérieur et le code général des collectivités locales.
Et l'opposition régionale est dans son rôle lorsqu'elle dénonce et déplore le climat "malsain" des Commissions permanentes "qui conduit à certaines exaspérations". Une fois encore, chaque camp va avancer ses arguments. A cela, il faut ajouter la relation entre deux hommes qui ont la passion à fleur de peau. Un père spirituel et un fils qui n'ont pas totalement rompu le lien affectif. Ce lien, ils le vivent "à l'envers". De l'affection à la haine. De l'affection trahie à la vengeance.
C'est vrai, tout ça est humain. Et personne ne peut le nier. Cela signifie que le verre sera toujours à moitié… Mais que faire pour ceux qui ont soif de justice sociale, d'emploi ou de logement. Et qui guettent un projet d'avenir et de vie, une lueur d'espoir dans les yeux des élus. Comme un fils dans les yeux d'un père. Un verre à la main...