Le conflit de l'Arast qui perdure depuis quatre ans, a-t-elle atteint son paroxysme, le vendredi 13 janvier ? Mimose Libel, gênée après ses propos proférés (insultes) à l'encontre de Nassimah Dindar, présidente du Conseil général, dans l'enceinte même du palais de La Source, est somme toute dans d'autres dispositions. "Il faut revenir à l'essentiel, c'est-à-dire à tous ceux qui attendent leurs indemnités".
Quelques minutes plus tôt, Ibrahim Dindar, vice-président du Conseil général, a fait montre des mêmes intentions. "Il y a eu des mots de part et d'autre". Nassimah Dindar avait déclaré sur Réunion Première : "Mimose Libel et Paul Junot ne font pas la grève de la faim". Ibrahim Dindar avait ajouté : "Nous avons des témoins qui l'ont vu se baffrer".
Entre les insultes de l'une et les déclarations des autres, la tension est rapidement montée. Le conflit de l'Arast a tourné au conflit personnel et au règlement de comptes. Hier à l'issue de leur conférence de presse, les deux parties sont revenues à de meilleurs sentiments.
Ibrahim Dindar a indiqué que "le Conseil général ne veut pas d'une personnalisation du conflit et veut également un règlement rapide du dossier Arast". Mimose Libel, elle, ne veut "défendre que l'intérêt des 1.200 salariés".
Quelques minutes plus tôt, Ibrahim Dindar, vice-président du Conseil général, a fait montre des mêmes intentions. "Il y a eu des mots de part et d'autre". Nassimah Dindar avait déclaré sur Réunion Première : "Mimose Libel et Paul Junot ne font pas la grève de la faim". Ibrahim Dindar avait ajouté : "Nous avons des témoins qui l'ont vu se baffrer".
Entre les insultes de l'une et les déclarations des autres, la tension est rapidement montée. Le conflit de l'Arast a tourné au conflit personnel et au règlement de comptes. Hier à l'issue de leur conférence de presse, les deux parties sont revenues à de meilleurs sentiments.
Ibrahim Dindar a indiqué que "le Conseil général ne veut pas d'une personnalisation du conflit et veut également un règlement rapide du dossier Arast". Mimose Libel, elle, ne veut "défendre que l'intérêt des 1.200 salariés".