LA MOUCHE NOIRE ET LA SENSIBILISATION DU PUBLIC FACE A CE DANGER
Sur la base du principe de précaution et de la gravité des dangers de santé publique, il s’avère nécessaire que toutes les études épidémiologiques et sanitaires soient menées sur la mouche noire par toutes les instances locales.
L’objectif principal de ces dernières est d’obtenir des informations probantes pour informer et sensibiliser le public de ce quartier et de la Réunion en général. Mais aussi, de faire le point et de vérifier si ce risque est potentiel ou réel.
Il faut savoir que la mouche noire ou «Simulie» est vecteur d'une maladie grave : l’Onchocercose.
Elle est plus communément appelée «Cécité des rivières», et est provoquée par le ver parasite dénommée « Onchocerca volvulus ».
C'est la 2ème cause de cécité irréversible dans le monde.
Du fait de la dangerosité de la situation, nous ne pouvons pas rester immobiles connaissant les risques de cette maladie lourde. Nous demandons aux autorités sanitaires locales de prendre en main ce dossier et de diligenter toutes actions nécessaires en leur pouvoir pour évaluer ce problème de santé publique. Sans informations précises sur ce sujet, nous risquons de subir ce danger, comme nous avons subi le Chikungunya, avec toutes les conséquences et les répercussions socio-économiques préjudiciables qui vont avec.
Nous restons dans l’attente d’un retour des instances sanitaires réunionnaises sur ce qu'elles escomptent faire, pour à minima, évaluer le danger sur Ravine à Malheur. Si, a contrario, le risque est avéré, des préventions et des traitements seront à mettre en œuvre dans un programme concret de lutte contre cette maladie.
L’objectif principal de ces dernières est d’obtenir des informations probantes pour informer et sensibiliser le public de ce quartier et de la Réunion en général. Mais aussi, de faire le point et de vérifier si ce risque est potentiel ou réel.
Il faut savoir que la mouche noire ou «Simulie» est vecteur d'une maladie grave : l’Onchocercose.
Elle est plus communément appelée «Cécité des rivières», et est provoquée par le ver parasite dénommée « Onchocerca volvulus ».
C'est la 2ème cause de cécité irréversible dans le monde.
Du fait de la dangerosité de la situation, nous ne pouvons pas rester immobiles connaissant les risques de cette maladie lourde. Nous demandons aux autorités sanitaires locales de prendre en main ce dossier et de diligenter toutes actions nécessaires en leur pouvoir pour évaluer ce problème de santé publique. Sans informations précises sur ce sujet, nous risquons de subir ce danger, comme nous avons subi le Chikungunya, avec toutes les conséquences et les répercussions socio-économiques préjudiciables qui vont avec.
Nous restons dans l’attente d’un retour des instances sanitaires réunionnaises sur ce qu'elles escomptent faire, pour à minima, évaluer le danger sur Ravine à Malheur. Si, a contrario, le risque est avéré, des préventions et des traitements seront à mettre en œuvre dans un programme concret de lutte contre cette maladie.