"Certes Antonio Grondin, un peu moins chevronné que ses deux accolytes sus-cités et cousin malheureux du sieur Daniel Alamélou (on ne choisit pas sa famille), pourrait-il, à la limite, être considéré comme une triste victime collatérale du système, qui veut qu'à chaque élection municipale, l'on recherche un poste ( plutôt que des responsabilités désintéressées), et si possible bien rémunéré, au sein des services de la mairie.
Mais, il en est tout autre du duo Pausé et Alamélou. Les citoyens de notre cité ont pu les voir à l'œuvre. Il n'ont jamais été aussi critiques de la politique menée par leur mentor d'autrefois, Maurice Gironcel. Ils ont vite oublié la discipline qu'imposait le parti de la dictature du peuple, le PCR.
Ils crachent dans une soupe qu'ils ont pourtant bien souvent dégustés ensemble et à satiété. Même s'il est vrai qu'une certaine Perestroïka, mais surtout une nouvelle lucidité des Sainte-Suzannois avait déjà été amorcée lors du retour en "grâce judiciaire" de l'aiglon rouge.
Ce "printemps de Prague" aux dernières élections municipales, initié certes, par le tamdem Pausé/Alamélou, a permis, c'est vrai, à la population locale, de comprendre que la toute puissance d'un clan, d'une caste, d'un parti, aux méthodes démocratiques quelque peu contestées et contestables, n'était plus une chose acquise.
Que l'on pouvait prétendre à d'autres édiles nouvelles et plus performantes, car inconnues du système longtemps mis en place par les responsables de la ville, dont faisaient intégralement partie Yolande Pausé et Daniel Alamélou. Ils ne peuvent aujourd'hui affirmer qu'ils n'ont pas de responsabilités dans la gestion calamiteuse des affaires municipales, telles qu'elles ont été gérées par le maire actuel Maurice Gironcel !
A lire la presse aujourd'hui, on dirait qu'il feignent d'oublier d'où ils viennent et qui les a installés où ils sont. Les exemples qu'ils citent dans certains quotidiens de notre île font sourire, et nous rappellent même, qu'à une certaine époque, ils affirmaient le contraire. Quant à Yolande Pausé qui a voulu devenir "calife à la place du calife", elle n'a pas su convaincre. Mais comment le pouvait-elle, elle qui n'a jamais osé dépasser son maître. Nous n'avons pas besoin de vassale.
Sainte-Suzanne a besoin d'une véritable opposition locale qui rompe avec les vieux démons de la politique d'achat de voix par des promesses illusoires ou des alliances contre nature, qui ne font que ralentir son développement économique et social. Sainte Suzanne a besoin d'une équipe qui sache écouter ses habitants, ses projets, ses souffrances aussi, et non pas simplement entendre et promettre, sans ne rien jamais apporter de pérenne à la communauté de notre cité.
Cette équipe, elle se constitue en ce moment. Elle se présentera bientôt à vous de manière concrète. Elle vous expliquera qu'il existe une autre façon de gérer la cité. Plus respectueuse des droits de chacun mais aussi de l'intérêt du groupe. IL est temps de passer à autre chose…"
Mais, il en est tout autre du duo Pausé et Alamélou. Les citoyens de notre cité ont pu les voir à l'œuvre. Il n'ont jamais été aussi critiques de la politique menée par leur mentor d'autrefois, Maurice Gironcel. Ils ont vite oublié la discipline qu'imposait le parti de la dictature du peuple, le PCR.
Ils crachent dans une soupe qu'ils ont pourtant bien souvent dégustés ensemble et à satiété. Même s'il est vrai qu'une certaine Perestroïka, mais surtout une nouvelle lucidité des Sainte-Suzannois avait déjà été amorcée lors du retour en "grâce judiciaire" de l'aiglon rouge.
Ce "printemps de Prague" aux dernières élections municipales, initié certes, par le tamdem Pausé/Alamélou, a permis, c'est vrai, à la population locale, de comprendre que la toute puissance d'un clan, d'une caste, d'un parti, aux méthodes démocratiques quelque peu contestées et contestables, n'était plus une chose acquise.
Que l'on pouvait prétendre à d'autres édiles nouvelles et plus performantes, car inconnues du système longtemps mis en place par les responsables de la ville, dont faisaient intégralement partie Yolande Pausé et Daniel Alamélou. Ils ne peuvent aujourd'hui affirmer qu'ils n'ont pas de responsabilités dans la gestion calamiteuse des affaires municipales, telles qu'elles ont été gérées par le maire actuel Maurice Gironcel !
A lire la presse aujourd'hui, on dirait qu'il feignent d'oublier d'où ils viennent et qui les a installés où ils sont. Les exemples qu'ils citent dans certains quotidiens de notre île font sourire, et nous rappellent même, qu'à une certaine époque, ils affirmaient le contraire. Quant à Yolande Pausé qui a voulu devenir "calife à la place du calife", elle n'a pas su convaincre. Mais comment le pouvait-elle, elle qui n'a jamais osé dépasser son maître. Nous n'avons pas besoin de vassale.
Sainte-Suzanne a besoin d'une véritable opposition locale qui rompe avec les vieux démons de la politique d'achat de voix par des promesses illusoires ou des alliances contre nature, qui ne font que ralentir son développement économique et social. Sainte Suzanne a besoin d'une équipe qui sache écouter ses habitants, ses projets, ses souffrances aussi, et non pas simplement entendre et promettre, sans ne rien jamais apporter de pérenne à la communauté de notre cité.
Cette équipe, elle se constitue en ce moment. Elle se présentera bientôt à vous de manière concrète. Elle vous expliquera qu'il existe une autre façon de gérer la cité. Plus respectueuse des droits de chacun mais aussi de l'intérêt du groupe. IL est temps de passer à autre chose…"