Cette génération aujourd'hui à l'UDI, a besoin de s'exprimer. De créer son cadre d'expression. Enumérer ses valeurs. Hiérarchiser ses priorités et ses projets. Et arrêter ses objectifs électoraux. En un mot s'affirmer comme un mouvement ou un parti indépendant. La légitimité politique ne viendra que de la crédibilité qui doit être croissante et forte. Ça c'est le premier objectif. Le bureau provisoire formé de 21 membres (trois par parti ou mouvement), veille d'abord à ménager chaque susceptibilité, et révèle les premières stratégies pour éviter toute OPA sur l'UDI.
Découvrir ainsi un Parti radical et des Forces européennes démocrates à La Réunion, ça fait quand même un peu sourire. "La porte reste ouverte à ceux qui souhaitent nous rejoindre", ont dit en chœur les membres de l'UDI hier, lors de leur conférence de presse à l'hôtel le Concorde à Saint-Denis. Le Comité de soutien à la femme du Soldat inconnu, et JPV (Je Peux Venir) sont aussi intéressés. C'est du second degré. A qui profiteront la présence de leurs trois représentants au sein du bureau provisoire ? Si la forme est ironique et sarcastique, le fond ne l'est pas. Le fond, c'est le socle.
Le socle : c'est d'abord l'indépendance du mouvement. Comment l'affirmer et le consolider à travers la structure de direction et de gestion ? La réponse à cette équation passe d'abord par un vrai équilibre des forces en présence, "sans tenir compte pour l'instant du nombre d'adhérents que chaque parti ou mouvement peut amener à l'UDI". Le bureau provisoire à trois mois pour préparer le congrès fondateur de l'UDI. Trouver son président, son rôle et ses missions. Dans un groupe où les compétences sont multiples, et le potentiel politique est barré par la crainte de froisser l'autre, il est indispensable de privilégier la prise de risque dans la construction du parti, et ce par rapport au seul partage des sièges issus des futures échéances électorales.
S'il est évident que les Cantonales et les Régionales de 2015, sont les autres objectifs de l'UDI, ses co-fondateurs ont aussi l'opportunité d'offrir un autre cadre de discussion, de réflexion et de propositions. "Nous sommes force de propositions", ont souvent répété les membres de l'UDI. C'est sans aucun doute sur ce point précis que devront se concrétiser l'émancipation, l'indépendance et la rupture politique avec la génération politique précédente. Pour y parvenir, le bureau provisoire à trois mois pour poser un premier cadre de travail, et deux ans, pour avoir un projet de développement crédible. Tout un programme !
Découvrir ainsi un Parti radical et des Forces européennes démocrates à La Réunion, ça fait quand même un peu sourire. "La porte reste ouverte à ceux qui souhaitent nous rejoindre", ont dit en chœur les membres de l'UDI hier, lors de leur conférence de presse à l'hôtel le Concorde à Saint-Denis. Le Comité de soutien à la femme du Soldat inconnu, et JPV (Je Peux Venir) sont aussi intéressés. C'est du second degré. A qui profiteront la présence de leurs trois représentants au sein du bureau provisoire ? Si la forme est ironique et sarcastique, le fond ne l'est pas. Le fond, c'est le socle.
Le socle : c'est d'abord l'indépendance du mouvement. Comment l'affirmer et le consolider à travers la structure de direction et de gestion ? La réponse à cette équation passe d'abord par un vrai équilibre des forces en présence, "sans tenir compte pour l'instant du nombre d'adhérents que chaque parti ou mouvement peut amener à l'UDI". Le bureau provisoire à trois mois pour préparer le congrès fondateur de l'UDI. Trouver son président, son rôle et ses missions. Dans un groupe où les compétences sont multiples, et le potentiel politique est barré par la crainte de froisser l'autre, il est indispensable de privilégier la prise de risque dans la construction du parti, et ce par rapport au seul partage des sièges issus des futures échéances électorales.
S'il est évident que les Cantonales et les Régionales de 2015, sont les autres objectifs de l'UDI, ses co-fondateurs ont aussi l'opportunité d'offrir un autre cadre de discussion, de réflexion et de propositions. "Nous sommes force de propositions", ont souvent répété les membres de l'UDI. C'est sans aucun doute sur ce point précis que devront se concrétiser l'émancipation, l'indépendance et la rupture politique avec la génération politique précédente. Pour y parvenir, le bureau provisoire à trois mois pour poser un premier cadre de travail, et deux ans, pour avoir un projet de développement crédible. Tout un programme !