
"Six morts et vingt sept personnes disparues sur un kwassa kwassa dans l’océan Indien entre Anjouan et l’île française de Mayotte ce vendredi 7 Septembre 2012.
La Grande Comores, la France et la communauté internationale font preuve d’immobilisme sur le dossier d’immigration clandestine à Mayotte. De nouveau un kwassa kwassa s’est renversé en quittant l’île d’Anjouan pour rejoindre le département de Mayotte.
Ces situations de catastrophe humaine deviennent récurrentes. Les Etats comorien et français ont une obligation morale de protéger et sauvegarder la personne humaine.
Le CRAN exhorte les deux pays concernés par ces drames, de trouver les passerelles d’une solidarité économique, politique et d’éviter que les profondeurs de l’océan Indien n’abritent un cimetière marin pour nos frères et sœurs Comoriens.
Ces familles désespèrent face à la misère sociale, elles cherchent un avenir meilleur pour l’éducation de milliers d’enfants. Le CRAN rappelle que se nourrir, se loger et se soigner sont des droits fondamentaux".
La Grande Comores, la France et la communauté internationale font preuve d’immobilisme sur le dossier d’immigration clandestine à Mayotte. De nouveau un kwassa kwassa s’est renversé en quittant l’île d’Anjouan pour rejoindre le département de Mayotte.
Ces situations de catastrophe humaine deviennent récurrentes. Les Etats comorien et français ont une obligation morale de protéger et sauvegarder la personne humaine.
Le CRAN exhorte les deux pays concernés par ces drames, de trouver les passerelles d’une solidarité économique, politique et d’éviter que les profondeurs de l’océan Indien n’abritent un cimetière marin pour nos frères et sœurs Comoriens.
Ces familles désespèrent face à la misère sociale, elles cherchent un avenir meilleur pour l’éducation de milliers d’enfants. Le CRAN rappelle que se nourrir, se loger et se soigner sont des droits fondamentaux".