La presse a été surprise voire abasourdie lorsque Nassimah Dindar et Bruno Mamindy-Pajany ont répété à diverses reprises, que le Conseil général honore chaque année et sans coup férir (et non fait rire) plusieurs factures de cet acabit, "vers le moi de juin".
"C'est lorsque les collèges ne peuvent plus faire face que le principal demande une rallonge au Département". La question de la presse était la suivante : "Comment se fait-il que cette déperdition d'eau n'est pas anticipée". La réponse a le mérite d'être claire : "Il ne s'agit pas ici d'une simple fuite d'eau, c'est souvent l'ensemble du réseau qui est défectueux".
C'est donc plusieurs réseaux qu'il faut aujourd'hui soient modernisés ou totalement changés. Et cela après quelques années de sur-factures. La facture d'eau douce est salée. Et le contribuable doit encore boire jusqu'à la lie. C'est dur. Car, dans cette situation d'urgence sociale, cet argent aurait soulagé quelques souffrances et quelques solitudes.
Faut-il en vouloir aux collèges qui n'ont pas réagi assez rapidement pour stopper ce gâchis ? Faut-il en vouloir au Conseil général qui propose des réponses provisoires avant la réfection des réseaux abîmés ? Faut-il en vouloir aux fermiers qui n'avertissent pas les collèges de la défection des réseaux ?
Qu'importe la réponse, voici un bon tuyau : versons quelques larmes, juste quelques gouttes (économie d'eau et développement durable obligent), sur les contribuables pour qu'ils poussent et se multiplient…
"C'est lorsque les collèges ne peuvent plus faire face que le principal demande une rallonge au Département". La question de la presse était la suivante : "Comment se fait-il que cette déperdition d'eau n'est pas anticipée". La réponse a le mérite d'être claire : "Il ne s'agit pas ici d'une simple fuite d'eau, c'est souvent l'ensemble du réseau qui est défectueux".
C'est donc plusieurs réseaux qu'il faut aujourd'hui soient modernisés ou totalement changés. Et cela après quelques années de sur-factures. La facture d'eau douce est salée. Et le contribuable doit encore boire jusqu'à la lie. C'est dur. Car, dans cette situation d'urgence sociale, cet argent aurait soulagé quelques souffrances et quelques solitudes.
Faut-il en vouloir aux collèges qui n'ont pas réagi assez rapidement pour stopper ce gâchis ? Faut-il en vouloir au Conseil général qui propose des réponses provisoires avant la réfection des réseaux abîmés ? Faut-il en vouloir aux fermiers qui n'avertissent pas les collèges de la défection des réseaux ?
Qu'importe la réponse, voici un bon tuyau : versons quelques larmes, juste quelques gouttes (économie d'eau et développement durable obligent), sur les contribuables pour qu'ils poussent et se multiplient…