
"Les chiffres parlent d’eux même : Monsanto, c’est 8,5 milliards de dollars de chiffre d’affaires, dont 4,8 pour les semences, 3,7 pour les herbicides, et un milliard de dollars de profits en 2007. Le marché mondial est excitant pour de telles entreprises. La perspective de rendre dépendants de plus en plus de paysans à leurs produits au moyen des semences génétiquement manipulées et brevetées est bien réelle. Les fabricants d’OGM ne vont donc pas baisser les bras comme ça !
De nouvelles promesses sont aujourd’hui mises en avant : les OGM seraient un moyen sûr pour faire face au changement climatique, grâce à de nouvelles productions qui s’y adapteraient ! Comme hier, elles ne reposent sur aucune base scientifique, mais Monsanto a déjà breveté un millier de constructions transgéniques dans ce secteur "nouveau".
Certes, les autorisations de mise en culture des OGM en Europe sont données après avis de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA). Mais nous avons montré en 2010 que plusieurs membres de cette Autorité, au premier rang desquels sa présidente Diana Banati, sont liés de près ou de loin aux fabricants et marchands de semences transgéniques.
Les éléments à charge contre les OGM se cumulant, il est logique que les Européens soient année après année très majoritairement contre leur culture en plein champ et leur consommation. Aux élus de prendre en considération l’exigence démocratique. Nous ne voulons pas d’OGM, nous savons pourquoi, et ça tombe bien : nous n’en avons pas besoin". Lire la suite ici
De nouvelles promesses sont aujourd’hui mises en avant : les OGM seraient un moyen sûr pour faire face au changement climatique, grâce à de nouvelles productions qui s’y adapteraient ! Comme hier, elles ne reposent sur aucune base scientifique, mais Monsanto a déjà breveté un millier de constructions transgéniques dans ce secteur "nouveau".
Certes, les autorisations de mise en culture des OGM en Europe sont données après avis de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA). Mais nous avons montré en 2010 que plusieurs membres de cette Autorité, au premier rang desquels sa présidente Diana Banati, sont liés de près ou de loin aux fabricants et marchands de semences transgéniques.
Les éléments à charge contre les OGM se cumulant, il est logique que les Européens soient année après année très majoritairement contre leur culture en plein champ et leur consommation. Aux élus de prendre en considération l’exigence démocratique. Nous ne voulons pas d’OGM, nous savons pourquoi, et ça tombe bien : nous n’en avons pas besoin". Lire la suite ici