🎵 Titre : "Je peux pas être raciste" 🎵
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[Couplet 1]
J’suis né d’un mélange, d’un feu, d’un vertige,
Un peu d’esclavage, un peu de prestige.
Sur mon visage, y a tous les climats,
Y a l’Est, le Sud, et même l’au-delà.
D’Asie j’ai la paix dans les gestes,
D’Afrique, la force quand faut qu’j’proteste.
D’Inde, le feu dans les épices,
Et de Mada, l’âme en sacrifice.
[Refrain]
Je peux pas être raciste,
Mon sang est un monde en piste.
Trop de peuples dans mon cœur,
Trop de couleurs dans mes heures.
Je peux pas être raciste,
Je suis bâtard, je suis artiste.
Un pont entre les continents,
L’amour tatoué dans le sang.
[Couplet 2]
D’Europe, j’ai volé quelques mots,
J’les fais danser sur des tempos.
J’les transforme, j’les rends vivants,
Pas pour diviser, pour rassembler les gens.
Mon île est un vieux parchemin,
Écrit à l’encre du destin.
Une mosaïque, une utopie,
Un cri d’amour, une poésie.
[Refrain]
Je peux pas être raciste,
Mon sang est un monde en piste.
Trop de peuples dans mon cœur,
Trop de couleurs dans mes heures.
Je peux pas être raciste,
Je suis bâtard, je suis artiste.
Un pont entre les continents,
L’amour tatoué dans le sang.
[Pont parlé ou chanté plus calme]
Je suis les voix qu’on a croisées,
Les corps qu’on a déracinés.
Mais de ce chaos, j’ai fait lumière,
Un feu doux contre la colère.
[Dernier refrain - plus intense]
Je peux pas être raciste,
J’suis l’inverse des séparatistes.
J’suis la trace de l’impossible,
Le lien, l’humain, l’indivisible.
paroles, musique, images et réalisation : François ORRÉ
J’suis né d’un mélange, d’un feu, d’un vertige,
Un peu d’esclavage, un peu de prestige.
Sur mon visage, y a tous les climats,
Y a l’Est, le Sud, et même l’au-delà.
D’Asie j’ai la paix dans les gestes,
D’Afrique, la force quand faut qu’j’proteste.
D’Inde, le feu dans les épices,
Et de Mada, l’âme en sacrifice.
[Refrain]
Je peux pas être raciste,
Mon sang est un monde en piste.
Trop de peuples dans mon cœur,
Trop de couleurs dans mes heures.
Je peux pas être raciste,
Je suis bâtard, je suis artiste.
Un pont entre les continents,
L’amour tatoué dans le sang.
[Couplet 2]
D’Europe, j’ai volé quelques mots,
J’les fais danser sur des tempos.
J’les transforme, j’les rends vivants,
Pas pour diviser, pour rassembler les gens.
Mon île est un vieux parchemin,
Écrit à l’encre du destin.
Une mosaïque, une utopie,
Un cri d’amour, une poésie.
[Refrain]
Je peux pas être raciste,
Mon sang est un monde en piste.
Trop de peuples dans mon cœur,
Trop de couleurs dans mes heures.
Je peux pas être raciste,
Je suis bâtard, je suis artiste.
Un pont entre les continents,
L’amour tatoué dans le sang.
[Pont parlé ou chanté plus calme]
Je suis les voix qu’on a croisées,
Les corps qu’on a déracinés.
Mais de ce chaos, j’ai fait lumière,
Un feu doux contre la colère.
[Dernier refrain - plus intense]
Je peux pas être raciste,
J’suis l’inverse des séparatistes.
J’suis la trace de l’impossible,
Le lien, l’humain, l’indivisible.
paroles, musique, images et réalisation : François ORRÉ